BONNE ANNEE A TOUS
et bonne année à lire tous les beaux livres qu'il reste à lire..............................
Une bien belle photo, du journal l'independant
http://www.lindependant.fr/2011/12/29/rendez-vous-avec-le-cafe-litteraire,100842.php
Aimer lire, Aimer se rencontrer, Aimer partager sa passion de la lecture, cafelitteraire11@gmail.com
samedi 31 décembre 2011
jeudi 8 décembre 2011
Le pilote du Café Litteraire sur RADIO MARSEILLETTE
Une belle emission de radio, un test avec Pascale Oriot, Anne la lectrice et Benjamin l'éditeur,
Melina l'animatrice, et votre serviteur modestement
Vous en pensez quoi?
Depuis on m'a proposé une mensuelle.
http://www.marseillettefm.com/2011/12/cafe-litteraire-emission-pilote/
Melina l'animatrice, et votre serviteur modestement
Vous en pensez quoi?
Depuis on m'a proposé une mensuelle.
http://www.marseillettefm.com/2011/12/cafe-litteraire-emission-pilote/
Café littéraire du 2 Decembre
Si je reste de Gayle FORMAN
Présentation de l’éditeur
Mia a 17 ans, un petit ami que toutes ses copines lui envient, des parents un peu excentriques mais sympas, un petit frère craquant, et la musique occupe le reste de sa vie. Et puis vient l’accident de voiture. Désormais seule au monde, Mia a sombré dans un profond coma. Où elle découvre deux choses stupéfiantes : d’abord, elle entend tout ce qu’on dit autour de son lit d’hôpital. Ensuite, elle a une journée seulement pour choisir entre vivre et mourir. C’est à elle de décider. Un choix terrible quand on a 17 ans.
La ferme des animaux de Georges ORWELL
L'histoire se passe en Angleterre, dans une ferme dont le propriétaire, un certain Mr Jones, règne avec autorité sur ses animaux. Un soir, le vieux cochon Sage l'Ancien réunit tous les animaux et leur révèle son rêve de révolte contre la tyrannie du fermier. Trois jours plus tard, le vieux cochon meurt, mais ses idées ont marqué les esprits, surtout ceux des autres cochons, qui sont considérés comme les animaux les plus intelligents de la ferme.
Ainsi, la révolte est menée, et évidemment les animaux connaissent une grande victoire. Menés par deux cochons, Napoléon et Boule de Neige, les animaux organisent leur nouvelle liberté. Ils rédigent les sept commandements qui leur assureront une indépendance totale vis-à-vis des hommes :
Ainsi, la révolte est menée, et évidemment les animaux connaissent une grande victoire. Menés par deux cochons, Napoléon et Boule de Neige, les animaux organisent leur nouvelle liberté. Ils rédigent les sept commandements qui leur assureront une indépendance totale vis-à-vis des hommes :
La foret des Manes de J.C.GRANGE
A Paris, Jeanne Korowa, brillante juge d'instruction à la vie affective désastreuse enquête avec François Taine sur une série de meurtres particulièrement sauvages : démembrements, cannibalisme, et mises en scène macabres. Trois plantureuses Vénus atrocement dévorées, trois tableaux sanglants entre rituel et folie. Abusant de son autorité, Jeanne fait installer des micros dans le cabinet d'Antoine Féraud, le psychanalyste qui reçoit chaque semaine son ex petit ami, et tombe par hasard sur une séance étrange où un père révèle les pulsions sanguinaires de son fils autiste et son passage à l'acte. Autisme, fécondité, préhistoire : trois pistes qui mèneront Jeanne, au Nicaragua, au Guatemala, puis dans les marais argentins. Au terme de sa quête, dans la forêt des Mânes, elle découvrira une vérité qu'on aurait préféré ne jamais connaître." (présentation de l'éditeur)
La femme au Miroir de E.E.SCHMITT
Trois femmes, trois époques. Anne vit à Bruges au temps de la Renaissance, Hanna, dans la Vienne impériale du XXe siècle naissant, Anny, à Hollywood, de nos jours. A chacune est consacré un chapitre. Anne est sur le point de se marier avec Philippe, un beau parti, mais y renonce et s'enfuit dans la forêt où le moine Braindor lui portera secours et la convaincra de s'unir à Dieu. Hanna, elle, s'exprime à travers ses lettres à son ami Gretchen. Elle lui décrit son quotidien ennuyeux dans l'élégante société viennoise, où son mari, le jeune comte Franz von Waldberg, l'exhibe. Enfin Anny, actrice, se retrouve dans le centre médical de Beverly Hills après avoir été accidentée dans une boîte de nuit où elle s'était copieusement enivrée... Toutes trois se sentent profondément différentes de leurs contemporains. Et si elles ne représentaient qu'une seule et même femme ? De retour à la forme romanesque, après des recueils de nouvelles et un livre consacré à Beethoven, Eric-Emmanuel Schmitt signe un étonnant plaidoyer en faveur du beau sexe, de ses failles et de ses forces.
La couleur des senttiments de Kathryn STOCKETT
En 1962, à Jackson, Mississipi, chez les Blancs, ce sont les Noires qui font le ménage et élèvent les enfants. Sans mot dire, sous peine de devoir prendre la porte. Est-ce le cas de Caroline, l’employée des Phelan, dont on n’a plus aucune nouvelle ? Mais franchement, qui s’en soucierait ? Ses amies, Minny et Aibileen, et surtout Skeeter, la propre fille des Phelan. La jeune étudiante blanche et les deux employées noires vont lier une alliance imprévisible pour « comprendre ». Passionnant de bout en bout, La Couleur des sentiments a déjà conquis plus de deux millions de lecteurs, dont Steven Spielberg qui en a acquis les droits : l’adaptation cinématographique sort en août aux Etats-Unis.Timbres différents, conviction ou verve identiques : Marie Lemaître, Nathalie Hons, Nathalie Hugo et Cachou Kirsch marient leurs voix comme les héroïnes du roman leur volonté que « les choses changent »…
Les yeux dans les arbres de Barbara KINGSOLVER
De la défense des droits de l'homme en passant par l’écologie et le féminisme, Barbara kingsolver est décidément un auteur engagé. Dans ses précédents romans (L'arbre aux haricots et Les cochons au paradis), elle soutenait la cause des minorités, et en particulier celle des Indiens et des réfugiés d'Amérique centrale. Avec Les Yeux dans les arbres elle dénonce l’impérialisme économique et
l’extrémisme religieux.
En 1959, alors que le Congo belge est à l'aube de la révolution, le pasteur américain Nathan Price et sa famille se portent volontaires pour une mission d'évangélisation. Tour à tour, la mère et les filles prennent la parole, offrant au lecteur autant de visions différentes du pays et des malheurs de la famille. Victimes du totalitarisme paternel et du grand tourbillon de l’Histoire, elles se voient contraintes de se construire une vie nouvelle ; chacune selon son intelligence et sa sensibilité.
Une fois de plus, Barbara Kingsolver concilie brillamment écriture et engagement politique. Sous sa plume se dessine une Afrique sauvage et flamboyante : des marabouts, des paysages grandioses, des hommes fières et courageux luttant pour leur survie ou pour leurs idéaux … le lecteur est totalement envoûté. Ce roman a été précédé de nombreux voyages sur le continent africain et d’un travail de recherche poussé sur la période coloniale. Il offre au lecteur une vision de l'histoire africaine qui sonne juste et qui l'incite à une réflexion sur (dés)ordre mondial.
l’extrémisme religieux.
En 1959, alors que le Congo belge est à l'aube de la révolution, le pasteur américain Nathan Price et sa famille se portent volontaires pour une mission d'évangélisation. Tour à tour, la mère et les filles prennent la parole, offrant au lecteur autant de visions différentes du pays et des malheurs de la famille. Victimes du totalitarisme paternel et du grand tourbillon de l’Histoire, elles se voient contraintes de se construire une vie nouvelle ; chacune selon son intelligence et sa sensibilité.
Une fois de plus, Barbara Kingsolver concilie brillamment écriture et engagement politique. Sous sa plume se dessine une Afrique sauvage et flamboyante : des marabouts, des paysages grandioses, des hommes fières et courageux luttant pour leur survie ou pour leurs idéaux … le lecteur est totalement envoûté. Ce roman a été précédé de nombreux voyages sur le continent africain et d’un travail de recherche poussé sur la période coloniale. Il offre au lecteur une vision de l'histoire africaine qui sonne juste et qui l'incite à une réflexion sur (dés)ordre mondial.
Oui mon commandant de Amadou HAMPATE BA
Après avoir partagé avec le lecteur son enfance et son adolescence, mutines et malicieuses, cela en respectant notamment les principes posés par Tierno Bokar, son maître à penser, l’écrivain nous livre ici ses premiers pas dans le monde bigarré qu’est celui des adultes. Étant parmi les élèves les plus doués de l’école républicaine du village, il est choisi par le colonisateur à poursuivre sa scolarité dans un institut où sont formés les futurs cadres indigènes. En dépit de sa mère épleurée, il s’engage vigilant mais confiant de ses valeurs. Une nouvelle fois parmi les meilleurs, Hamadou Hampâté Bâ est affecté à différents postes de travail comme traducteur et, gravit très vite les échelons de l’administration colonisatrice. Avec une faconde délicieusement humoristique et légère, il croque avec saveur l’administration coloniale ainsi que les représentants de la France, les administrateurs coloniaux.
Les roses, les choux et autres secrets de Frances CARROOD
Entre une mère joyeusement folle qui joue de la planche à repasser comme d'un piano et des locataires excentriques qui restent trop peu de temps pour qu'on se rappelle leur nom, l'enfance de Cassandra est certes atypique, mais heureuse. Jusqu'au jour où la conduite obscène d'un pensionnaire fait s'effondrer son monde et ses illusions d'enfant...
Concernant "Les roses, les choux et autres secrets" : Petites joies et grands bonheurs des relations mère-fille. Voilà un roman touchant, piquant, étonnant ! Les liens complexes unissant une mère et son enfant, la difficulté de s'affranchir d'un passé hors normes, la recherche du bonheur... des thèmes universels qui nous parlent à toutes !
Concernant "Les roses, les choux et autres secrets" : Petites joies et grands bonheurs des relations mère-fille. Voilà un roman touchant, piquant, étonnant ! Les liens complexes unissant une mère et son enfant, la difficulté de s'affranchir d'un passé hors normes, la recherche du bonheur... des thèmes universels qui nous parlent à toutes !
Tom petit Tom tout petit Homme tom de Barbara Constantine
Tom a onze ans. Il vit dans un vieux mobile home avec Joss, sa mère (plutôt jeune : elle l'a eu à treize ans et demi). Comme Joss adore faire la fête et partir en week-end avec ses copains, Tom se retrouve souvent seul. Et il doit se débrouiller. Pour manger, il va chaparder dans les potagers voisins... Mais comme il a peur de se faire prendre et d'être envoyé à la Ddass (sa mère lui a dit que ça pouvait arriver et qu'elle ne pourrait rien faire pour le récupérer), il fait très attention. Un soir, en cherchant un nouveau jardin où faire ses courses, il tombe sur Madeleine (quatre-vingt-treize ans), allongée au milieu de ses choux, en larmes parce qu’elle n’arrive pas à se relever. Elle serait certainement morte, la pauvre vieille, si le petit Tom n'était pas passé par là...
Biographie de l'auteur
Scripte et romancière, Barbara Constantine partage son temps entre la région parisienne et le Berry. Elle est notamment l’auteur de Allumer le chat et de À Mélie sans mélo.
Biographie de l'auteur
Scripte et romancière, Barbara Constantine partage son temps entre la région parisienne et le Berry. Elle est notamment l’auteur de Allumer le chat et de À Mélie sans mélo.
La Mére de Yves Viollier
résumé du livre
Reine est née dans les années 1920. Orpheline à sept ans, elle est élevée par un père aimant et sous la protection affectueuse de religieuses. Son destin est tout tracé... A vingt ans, elle est mariée à un homme qui se révèle pervers, sournois et cruel. La vie de Reine devient alors un véritable calvaire. Mais animée par une foi absolue, elle ne laissera pas triompher l'adversitéLa chambre des curiosités de Douglas Preston
Résumé
à l'arrière du livre :
En creusant les fondations d'un immeuble, les bulldozers d'une entreprise de construction mettent au jour les restes de trente-six adolescents, savamment mutilés. L'oeuvre d'un certain Dr Enoch Leng, un tueur en série célèbre dans les années 1880.
Peu après la découverte de ce charnier de nouveaux meurtres surviennent, qui plongent New York dans l'angoisse. Pas de doute : le mode opératoire est bien celui du Dr Leng. Se peut-il que l'assassin ait découvert le secret de la jouvence éternelle ? Ou qu'il ait fait des émules ?
C'est cette énigme que doivent résoudre l'inspecteur Pendergast, du FBI, l'archéologue Nora Kelly et le journaliste William Smithback. Rapidement. A moins qu'ils n'aient, à leur tour, envie de servir de cobayes
En creusant les fondations d'un immeuble, les bulldozers d'une entreprise de construction mettent au jour les restes de trente-six adolescents, savamment mutilés. L'oeuvre d'un certain Dr Enoch Leng, un tueur en série célèbre dans les années 1880.
Peu après la découverte de ce charnier de nouveaux meurtres surviennent, qui plongent New York dans l'angoisse. Pas de doute : le mode opératoire est bien celui du Dr Leng. Se peut-il que l'assassin ait découvert le secret de la jouvence éternelle ? Ou qu'il ait fait des émules ?
C'est cette énigme que doivent résoudre l'inspecteur Pendergast, du FBI, l'archéologue Nora Kelly et le journaliste William Smithback. Rapidement. A moins qu'ils n'aient, à leur tour, envie de servir de cobayes
vendredi 25 novembre 2011
dimanche 20 novembre 2011
Un Outil révolutionnaire
Ce matin de la part de Luc,
l’outil qui va révolutionner notre siècle si !si !
Aux oubliettes, ipad,
tablettes, window, ipod, blackberry, et que sais-je encore………………………
http://www.youtube.com/watch?v=Q_uaI28LGJk&feature=related
lundi 14 novembre 2011
Juste un peu de votre temps ce vendredi....
Il arrive que l'on ne sache pas quoi faire le vendredi.................................
Et bien vendredi 2 Decembre à 10h soyez branchés
101.3 - 91.8 FM
ou bien sur votre ordinateur
http://www.marseillettefm.com/ecoutez-la-radio/
Une bien belle surprise vous attend.
Et bien vendredi 2 Decembre à 10h soyez branchés
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Une bien belle surprise vous attend.
lundi 7 novembre 2011
Si on parlait "Prix" le café litteraire avait vu juste et oui!
le Goncourt pour Alexis JENNI "l'Art français pour la guerre"
Histoire
J'allais mal; tout va mal; j'attendais la fin.
Quand j'ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n'arrive pas à finir, il avait parcouru le monde avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l'armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m'apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire.
Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l'art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l'émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas. Victorien Salagnon me rendit le temps tout entier, à travers la guerre qui hante notre langue.
Critique libraire
L'art français de la guerre est un texte ambitieux. 630 pages d'histoire militaire de la France vue par le porte-plume d'un vieux peintre, ancien combattant.
Voici donc la vie de Victorien Salagnon qui a participé à ce XXe siècle guerrier et qui croise celle du narrateur, ancien combattant, lui aussi, mais de cette terrible guerre qu'est la vie. Il est étonnant, merveilleusement étonnant de trouver un tel souffle et une telle langue dans un « premier roman ». On parlera beaucoup c'est sûr d'Alexis Jenni.
Un auteur qui nous entraîne dans les sentiers sombres et boueux de l'histoire, mais dont les mots, comme les touches d'encre de Victorien Salagnon, fondent, s'étalent et forment une œuvre d'art.
Le prix Renaudot à Emanuel CARRERE pour "Limonov"
Résumé:
Histoire
J'allais mal; tout va mal; j'attendais la fin.
Quand j'ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n'arrive pas à finir, il avait parcouru le monde avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l'armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m'apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire.
Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l'art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l'émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas. Victorien Salagnon me rendit le temps tout entier, à travers la guerre qui hante notre langue.
Critique libraire
L'art français de la guerre est un texte ambitieux. 630 pages d'histoire militaire de la France vue par le porte-plume d'un vieux peintre, ancien combattant.
Voici donc la vie de Victorien Salagnon qui a participé à ce XXe siècle guerrier et qui croise celle du narrateur, ancien combattant, lui aussi, mais de cette terrible guerre qu'est la vie. Il est étonnant, merveilleusement étonnant de trouver un tel souffle et une telle langue dans un « premier roman ». On parlera beaucoup c'est sûr d'Alexis Jenni.
Un auteur qui nous entraîne dans les sentiers sombres et boueux de l'histoire, mais dont les mots, comme les touches d'encre de Victorien Salagnon, fondent, s'étalent et forment une œuvre d'art.
Le prix Renaudot à Emanuel CARRERE pour "Limonov"
Résumé:
« Limonov n’est pas un personnage de fiction. Il existe. Je le connais. Il a été voyou en Ukraine ; idole de l’underground soviétique sous Brejnev ; clochard, puis valet de chambre d’un milliardaire à Manhattan ; écrivain branché à Paris ; soldat perdu dans les guerres des Balkans ; et maintenant, dans l’immense bordel de l’après-communisme en Russie, vieux chef charismatique d’un parti de jeunes desperados. Lui-même se voit comme un héros, on peut le considérer comme un salaud : je suspends pour ma part mon jugement. C’est une vie dangereuse, ambiguë : un vrai roman d’aventures. C’est aussi, je crois, une vie qui raconte quelque chose. Pas seulement sur lui, Limonov, pas seulement sur la Russie, mais sur notre histoire à tous depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ».
mardi 1 novembre 2011
Une bien belle soirée
Une bien belle soirée en effet
1er café littéraire de la rentrée et une « flopée
de livres » très éclectiques comme toujours dans les choix et les
aspirations
Une petite info : radio Marseillette(101,3 et 91,8) s’intéresse
à notre café littéraire et souhaite en faire une émission culturelle en diffusant
un compte rendu de nos soirées, pas mal non !! Je vous tiens au courant, la
1ere aura lieu le 18 novembre à 10h
soyez présents !
Et maintenant place à nos livres, et à nos lecteurs
C’est partiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Radio Marseillette
Prochain café litteraire le 2 decembre à 20h30 à la salle des fêtes de Villeneuve les Monterals
samedi 29 octobre 2011
Nancy PICKARD : Mémoire d'une nuit d'Orage
Les trois oncles de
Jody, 26 ans, lui annoncent que Billy, est remis en liberté, pour vice de
procédure. Billy a tué les parents de Jody, il y a 23 ans.
Pour sa propre
sécurité, elle repart vivre chez ses grands-parents, dans ce ranch qui l'a vue
grandir. Mais il y a 23 ans, cette fameuse nuit d'orage où son père a été assassiné et où sa mère a disparu, Billy semblait trop ivre pour avoir réussi à faire quoi que ce soit.
Henning MANKELL : Les chaussures italiennes
A nouveau Hening MANKELL avec Claude
A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l'archipel. Depuis qu'une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s'est isolé des hommes. Pour se prouver qu'il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s'y immerge chaque matin. Au solstice d'hiver, cette routine est interrompue par l'intrusion d'Harriet, la femme qu'il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer. Le temps de deux solstices d'hiver et d'un superbe solstice d'été, dans un espace compris entre une maison, une île, une forêt, une caravane, Mankell nous révèle une facette peu connue de son talent avec ce récit sobre, intime, vibrant, sur les hommes et les femmes, la solitude et la peur, l'amour et la rédemption.
Hening MANKELL: Le Guerrier solitaire
Depuis que Patrick a decouvert Mankel c'est le "delire"
encore un fabulmeux roman
Été 1994. Alors que toute la Suède suit, fébrile, les résultats de l'équipe nationnale lors de la coupe du monde de football, une jeune fille, au regard terrorisée, s'immole dans un champ de colza.
Le lendemain, les policiers découvrent sur la plage le corps d'un ancien ministre de la justice.
encore un fabulmeux roman
Été 1994. Alors que toute la Suède suit, fébrile, les résultats de l'équipe nationnale lors de la coupe du monde de football, une jeune fille, au regard terrorisée, s'immole dans un champ de colza.
Le lendemain, les policiers découvrent sur la plage le corps d'un ancien ministre de la justice.
Kurt Wallander, en charge des deux enquêtes, se rend malheureusement vite compte que le cadavre de la plage n'est que la première victime d'un tueur froid et calculateur : après l'ancien ministre, ce sont un marchand d'art puis un truand qui sont à leur tour tués à coup de hache et scalpés.
Quel monstre se cache derrière tout ça? Wallander ne se laisse pas une minute de répis, au détriment d'ailleurs de sa vie privée, pour comprendre l'innommable. Et si la vérité était encore plus inconcevable que ces meurtres?
Henning Mankell déroule lentement le fil de la narration. Son enquêteur doute, trébuche, mais rassemble peu à peu les éléments nécessaire à la résolutions de ces assassinats. Le lecteur a sans cesse une longueur d'avance sur léquipe policière et cela reforce d'ailleurs le sentiment d'empathie. On a envie de leur hurler ce qu'ils tardent à admettre. Ici, les flics ne sont pas des héros infaillibles : empêtrés dans leurs histoires personnelles, ils tentent de faire leur travail du mieux possible et sont, de fait, plus proches de nous.
Un bon polar, mené de main de maître.
Quel monstre se cache derrière tout ça? Wallander ne se laisse pas une minute de répis, au détriment d'ailleurs de sa vie privée, pour comprendre l'innommable. Et si la vérité était encore plus inconcevable que ces meurtres?
Henning Mankell déroule lentement le fil de la narration. Son enquêteur doute, trébuche, mais rassemble peu à peu les éléments nécessaire à la résolutions de ces assassinats. Le lecteur a sans cesse une longueur d'avance sur léquipe policière et cela reforce d'ailleurs le sentiment d'empathie. On a envie de leur hurler ce qu'ils tardent à admettre. Ici, les flics ne sont pas des héros infaillibles : empêtrés dans leurs histoires personnelles, ils tentent de faire leur travail du mieux possible et sont, de fait, plus proches de nous.
Un bon polar, mené de main de maître.
Jean TEULE : Darling
Francis à nouveau presente un nouveau livre
Un soir, une jeune femme aborda Jean Teulé.
Curieusement affublée, elle semblait sortir d'un sketch des Deschiens mais son regard, sa démarche et son assurance gouailleuse intriguèrent l'écrivain.
Elle dit s'appeler Darling, vouloir raconter son histoire afin qu'il en tire un livre. Elle estimait qu'ils rendraient tous les deux un grand service à leurs contemporains en montrant qu'on peut toujours s'en sortir en dépit de la violence et des catastrophes qui vous tombent sur la tête.
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Un soir, une jeune femme aborda Jean Teulé.
Curieusement affublée, elle semblait sortir d'un sketch des Deschiens mais son regard, sa démarche et son assurance gouailleuse intriguèrent l'écrivain.
Elle dit s'appeler Darling, vouloir raconter son histoire afin qu'il en tire un livre. Elle estimait qu'ils rendraient tous les deux un grand service à leurs contemporains en montrant qu'on peut toujours s'en sortir en dépit de la violence et des catastrophes qui vous tombent sur la tête.
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John STEINBECK: La perle
Colette nous fait plaisir avec son livre, qui n'a pas lu Steinbeck
Présentation de l'éditeur : "Jouant de sa lame comme d'un levier, il le fit céder et le coquillage s'ouvrit. Les lèvres de chair se crispèrent puis se détendirent. Kino souleva le repli et la perle était là, la grosse perle, parfaite comme la lune. Elle accrochait la lumière, la purifiait et la renvoyait dans une incandescence argentée. Elle était aussi grosse qu'un oeuf de mouette. C'était la plus grosse perle du monde
Kino est un jeune père de famille, très pauvre. Un jour, il découvre une perle dans la mer et la ramasse. C'est la plus grosse perle que personne n'a jamais connu. Grâce à cette perle, il se dit qu'il pourrait un jour payer des études à son fils, Coyotito. La plus grande ambition de Kino est que son fils sache un jour lire, ce qui lui garantira la liberté. Il se lance alors dans une grande aventure, avec sa femme et son fils : vendre la perle. Le souci est que personne dans le village ne veut la lui acheter à son juste prix. Kino part alors accompagné de sa famille dans la capitale, pour y trouver un acheteur juste. Mais, c'est sans compter sur la jalousie et la malchance qui guette la petite famille
Présentation de l'éditeur : "Jouant de sa lame comme d'un levier, il le fit céder et le coquillage s'ouvrit. Les lèvres de chair se crispèrent puis se détendirent. Kino souleva le repli et la perle était là, la grosse perle, parfaite comme la lune. Elle accrochait la lumière, la purifiait et la renvoyait dans une incandescence argentée. Elle était aussi grosse qu'un oeuf de mouette. C'était la plus grosse perle du monde
Kino est un jeune père de famille, très pauvre. Un jour, il découvre une perle dans la mer et la ramasse. C'est la plus grosse perle que personne n'a jamais connu. Grâce à cette perle, il se dit qu'il pourrait un jour payer des études à son fils, Coyotito. La plus grande ambition de Kino est que son fils sache un jour lire, ce qui lui garantira la liberté. Il se lance alors dans une grande aventure, avec sa femme et son fils : vendre la perle. Le souci est que personne dans le village ne veut la lui acheter à son juste prix. Kino part alors accompagné de sa famille dans la capitale, pour y trouver un acheteur juste. Mais, c'est sans compter sur la jalousie et la malchance qui guette la petite famille
Jonas JONASSON: Le vieux qui ne voulait pas feter son anniverssaire et fit sa malle
Patrick a acheté ce livre que pour son titre et sa couverture, une vraie decouverte à lire absolument
Alors que tous dans la maison de retraite s'apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au coeur de l'histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d'un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, et avec quelques coups de pouce du destin, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s'est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d'événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao...
Meir SHALEV : Pour l'amour de Judith
Anne nous presente un ecrivain Israelien
Petit village au Nord d’Israël. Des personnages se détachent comme des silhouettes au loin dans une brume de chaleur. Un flou de départ qui laissera place à la découverte. Le narrateur s’appelle Zeidé (ce qui signifie « grand-père »), nommé ainsi par sa mère, Judith. « Si l’Ange de la Mort vient et voit un petit enfant nommé Zeidé, il comprend aussitôt qu’il y a une erreur et s’en va ailleurs.»
Zeidé a trois pères. Moshé Rabinovitch, le fermier, costaud, rude, fort à soulever un rocher, toujours à la recherche de cette natte qu’il portait quand il était… petite fille. Globerman, le marchand de bestiaux. Et Jacob Scheinfeld, l’amoureux des oiseaux, celui qu’on traite d’idiot mais qui épousa la plus belle des femmes. Jacob va inviter son fils à partager plusieurs repas, à plusieurs années d’intervalle, au cours desquels la vie de Judith, la mère et la femme tant aimée disparue quand Zeidé avait dix ans, va se libérer, se raconter, « ré » exister. Et avec elle, la vie du village et de ces gens qui l’ont aimée ou simplement connue ou simplement préparé son entrée dans la vie des autres... Noémie et Oded les premiers enfants de Moshé, Yshoua, le prisonnier Italien, Papish-village, Menaheim le frère de Moshé qui devient muet tous les printemps, Tonia, la première femme de Moshé, qui ressemblait curieusement à son mari, ou encore cet étrange albinos en costume noir…
Petit village au Nord d’Israël. Des personnages se détachent comme des silhouettes au loin dans une brume de chaleur. Un flou de départ qui laissera place à la découverte. Le narrateur s’appelle Zeidé (ce qui signifie « grand-père »), nommé ainsi par sa mère, Judith. « Si l’Ange de la Mort vient et voit un petit enfant nommé Zeidé, il comprend aussitôt qu’il y a une erreur et s’en va ailleurs.»
Zeidé a trois pères. Moshé Rabinovitch, le fermier, costaud, rude, fort à soulever un rocher, toujours à la recherche de cette natte qu’il portait quand il était… petite fille. Globerman, le marchand de bestiaux. Et Jacob Scheinfeld, l’amoureux des oiseaux, celui qu’on traite d’idiot mais qui épousa la plus belle des femmes. Jacob va inviter son fils à partager plusieurs repas, à plusieurs années d’intervalle, au cours desquels la vie de Judith, la mère et la femme tant aimée disparue quand Zeidé avait dix ans, va se libérer, se raconter, « ré » exister. Et avec elle, la vie du village et de ces gens qui l’ont aimée ou simplement connue ou simplement préparé son entrée dans la vie des autres... Noémie et Oded les premiers enfants de Moshé, Yshoua, le prisonnier Italien, Papish-village, Menaheim le frère de Moshé qui devient muet tous les printemps, Tonia, la première femme de Moshé, qui ressemblait curieusement à son mari, ou encore cet étrange albinos en costume noir…
F.de PONTEES PEEBLES : la Couturiére
Luc à nouveau nous fait part d'un coup de coeur
Brésil, 1920.
Orphelines, Emilia et Luzia Dos Santos auraient pu être de modestes couturières unies à jamais dans l'adversité. Mais le destin en a voulu autrement et elles seront bientôt séparées par les déchirements d'un pays en proie aux coups d'Etat et aux révoltes populaires. Tout opposera en effet les deux sœurs : Emilia qui ne connaîtra que tourments et désillusions en épousant un notable de Recife, et Luzia qui sera kidnappée par un des plus célèbres Cangaceiros, ces bandits mercenaires qui terrorisent les propriétaires terriens.
Prenant bientôt fait et cause pour les paysans affamés du Sertao, celle qui sera surnommée la Couturière devient plus impitoyable encore que ses ravisseurs. La femme-bandit et l'épouse déçue n'en ont décidément pas fini avec les rivalités de classes et de clans. Frances de Pontes Peebles fait revivre ici l'histoire tumultueuse du Brésil de son enfance et brosse le portrait saisissant de deux femmes extraordinaires.
Brésil, 1920.
Orphelines, Emilia et Luzia Dos Santos auraient pu être de modestes couturières unies à jamais dans l'adversité. Mais le destin en a voulu autrement et elles seront bientôt séparées par les déchirements d'un pays en proie aux coups d'Etat et aux révoltes populaires. Tout opposera en effet les deux sœurs : Emilia qui ne connaîtra que tourments et désillusions en épousant un notable de Recife, et Luzia qui sera kidnappée par un des plus célèbres Cangaceiros, ces bandits mercenaires qui terrorisent les propriétaires terriens.
Prenant bientôt fait et cause pour les paysans affamés du Sertao, celle qui sera surnommée la Couturière devient plus impitoyable encore que ses ravisseurs. La femme-bandit et l'épouse déçue n'en ont décidément pas fini avec les rivalités de classes et de clans. Frances de Pontes Peebles fait revivre ici l'histoire tumultueuse du Brésil de son enfance et brosse le portrait saisissant de deux femmes extraordinaires.
Alfredo BRYCE-ECHENIQUE: Un monde pour Julius
A nouveau myriam nous presente une lecture d'été
Lima. Le petit Julius est né dans un palais et passe sa prime enfance dans le carrosse de son grand-père. Sur sa table de chevet se trouve la photo de sa soeur Cinthia, qu’il ne connaît plus qu’à travers cette image. Plus tard Julius saura éloigner cette photo avec laquelle il comprend confusément qu’il ne peut vivre. Cinthia ira sur la commode :il lui reste tant de choses à découvrir de lui.
Du collège au Country Club, en passant par la première communion, Alfredo Bryce-Echenique nous dépeint la lente prise de conscience de soi d’un petit garçon trop seul pour affronter pareille épreuve. Car n’en doutons pas :c’est une épreuve que d’être appelé, chacun, à ce moment de son existence, à se produire soi-même. Surtout dans la solitude de l’autre, frère ou soeur disparu. C’est aussi ce singulier passage de l’âge de raison qu’il tente - et réussit - de nous raconter.
Il y réussit parce que son récit s’organise autour du point de vue de l’enfance, qui ne saisit le monde qu’à travers une chaîne de causalités insolites. Comment trier dans le foisonnement du monde environnant ? Sa langue épouse alors cette structure un peu circulaire des nécessités enfantines :s’il faut des raisons à l’ordre du monde, il en trouve dans la proximité du merveilleux auquel le monde se plie volontiers, quand on l’observe avec ses yeux de sept ans. Assez étrangement, cette langue est aussi celle du narrateur adulte. Comme si elle le surplombait pour lui imposer ses vertus :le trouble devant l’immense perspective qu’ouvre le monde. --Joël Jégouzo--
Anne B.RAGDE: Zona frigida
Myraim a aiméQu’est-ce qui a bien pu pousser Bea, jeune caricaturiste branchée de 35 ans, à s’inscrire pour une croisière à destination des terres du Grand Nord ? La croisière, d’abord : un concept plutôt destiné au Troisième âge et pas à une célibataire croqueuse d’hommes comme elle… La destination, ensuite : le Svalbard, dite « Zona frigida », aux confins septentrionaux de la Norvège, ne constitue pas un territoire des plus accueillants. On prétend même qu’il y fait si froid que tous les animaux sont devenus blancs… Autant dire que la présence de Bea sur ce cargo a de quoi susciter la curiosité de ses compagnons de route.
Si la jeune femme a prétexté auprès de ses proches le besoin de rompre avec son quotidien, il apparaît rapidement que ses motivations sont tout autres : Bea a des comptes à régler avec son passé et ce voyage devrait lui permettre de repartir à zéro. La croisière d’agrément va vite se transformer en cauchemar pour certains passagers
Si la jeune femme a prétexté auprès de ses proches le besoin de rompre avec son quotidien, il apparaît rapidement que ses motivations sont tout autres : Bea a des comptes à régler avec son passé et ce voyage devrait lui permettre de repartir à zéro. La croisière d’agrément va vite se transformer en cauchemar pour certains passagers
William BOYD: les nouvelles confessions
Deja cité dans notre café littéraire pour Orages Ordinaires
Les Nouvelles Confessions forment une autobiographie fictive de John James Todd, cinéaste inventé pour l’occasion par William Boyd. Todd est obsédé par les Confessions de Rousseau depuis qu’il les a lues en prison pendant la première guerre mondiale. Il va passer sa vie à essayer de filmer les Confessions malgré deux guerres mondiales, le maccarthysme et autres péripéties...
Les Nouvelles Confessions forment une autobiographie fictive de John James Todd, cinéaste inventé pour l’occasion par William Boyd. Todd est obsédé par les Confessions de Rousseau depuis qu’il les a lues en prison pendant la première guerre mondiale. Il va passer sa vie à essayer de filmer les Confessions malgré deux guerres mondiales, le maccarthysme et autres péripéties...
Le récit lui même reprend les principaux éléments des Confessions de Rousseau : cette volonté de ne rien cacher même si la vérité n’est pas toujours belle. Todd raconte sans complaisance sa jeunesse en écosse, la boucherie de 14-18 et le reste de sa vie sans fard...
On participe au passage avec lui à l’avènement du Cinéma et de son industrie florissante.
Le récit se termine en exil dans un coin perdu de la Méditerrannée où Todd attend la mort, désabusé.
L’histoire est enlevée et plaisante et William Boyd sait mettre en scène les petites anecdotes de la vie aussi bien que les grands événements de l’Histoire. On rit beaucoup avec ce personnage obsédé et frustré
Olivier ADAM : Des vents contraires
Paul Anderen, le héros de ce sixième roman a fui vers Saint-Malo, la ville de son enfance, avec ses deux gamins. Depuis des mois, Sarah, sa femme, leur mère, a disparu sans donner de nouvelles. Qu'est-elle devenue ? Est-elle seulement encore vivante ? Avec un sens aigu du romanesque, Olivier Adam écrit au plus près des émotions, alliage de rugosité et de finesse, de brutalité et de sensibilité, de glace et de générosité, donne à son texte et à son personnage une voix formidablement juste, entêtante et émouvante. Et dit, avec une belle subtilité, les vibrations des paysages, les aménagements infinis du ciel et de la mer, la course des nuages et des oiseaux, refuge, dernier repère et seul apaisement quand plus rien ne peut vous atteindre, quand tout paraît si définitivement lointain. Réflexion sur l'absence, le deuil, les liens familiaux, Des vents contraires est, malgré la noirceur de son inspiration, un roman lumineux, par l'humanité et la tendresse qu'il dégage, et l'énergie qui l'habite. Cette capacité de résistance et d'espérance qui domine au bout du compte. A l'instar de ces maisons de bord de mer, serrées les unes contre les autres, « poussées à l'eau par le pays tout entier, suspendues juste au-dessus, en lisière, marginales et fragiles, menacées mais debout ».
Jean TEULE: Villon François
Pour tous claude nous fait decouvrir "François Villon"
Olivia ROSENTHAL :Que deviennent les rennes apres Noël
Patrick n'a pas aimé et a été deçu
Ce livre se lit comme une brasse coulée. c'est d-ailleurs ce qui m'est arrivé ,j'ai coulé a pic à la 20eme page!!!!Tour à tour, le personnage féminin et l'homme, dont la profession est en lien avec l'animal, vont apparaître dans un dialogue de sourds.
Au fil du livre, cette petite fille se demandant que font les rennes après Noël va grandir et s'émanciper.
Olivia Rosenthal nous offre un livre d'une incroyable originalité. si original que je ne l'ai pas terminé, mais chacun se fera sa propre opinion!!
Au fait que deviennent les rennes...........................................................? je me demande encore!
Ce livre se lit comme une brasse coulée. c'est d-ailleurs ce qui m'est arrivé ,j'ai coulé a pic à la 20eme page!!!!Tour à tour, le personnage féminin et l'homme, dont la profession est en lien avec l'animal, vont apparaître dans un dialogue de sourds.
Au fil du livre, cette petite fille se demandant que font les rennes après Noël va grandir et s'émanciper.
Olivia Rosenthal nous offre un livre d'une incroyable originalité. si original que je ne l'ai pas terminé, mais chacun se fera sa propre opinion!!
Au fait que deviennent les rennes...........................................................? je me demande encore!
ROY Lewis: Pourquoi j'ai mangé mon pére
Luc nous presente le livre qur tous le monsde a lu ou va lire a ne pas manquer
Approchez homo sapiens ! Ce livre vous fera hurler de rire ! Faites la connaissance d'une famille préhistorique : Edouard, le père, génial inventeur qui va changer la face du monde en ramenant le feu ; Vania, l'oncle réac, ennemi du progrès ; Erenst, le narrateur, un tantinet benêt ; Edwige, Griselda et autres ravissantes donzelles...
Ces êtres délicieux font le monde autour d'un feu en dégustant des os à moelle. Regardez-les découvrir l'amour, s'essayer à la drague, se battre avec l'évolution...
Situations rocambolesques, personnages hilarants d'un monde où l'homme est pourtant déjà homme : batailleur, jaloux, ingrat et aussi rétrograde. Un miroir à consulter souvent. Pour rire et réfléchir.
Approchez homo sapiens ! Ce livre vous fera hurler de rire ! Faites la connaissance d'une famille préhistorique : Edouard, le père, génial inventeur qui va changer la face du monde en ramenant le feu ; Vania, l'oncle réac, ennemi du progrès ; Erenst, le narrateur, un tantinet benêt ; Edwige, Griselda et autres ravissantes donzelles...
Ces êtres délicieux font le monde autour d'un feu en dégustant des os à moelle. Regardez-les découvrir l'amour, s'essayer à la drague, se battre avec l'évolution...
Situations rocambolesques, personnages hilarants d'un monde où l'homme est pourtant déjà homme : batailleur, jaloux, ingrat et aussi rétrograde. Un miroir à consulter souvent. Pour rire et réfléchir.
Katarina HAGENA : le goût des pepins de pommes
À la mort de Bertha, ses trois filles, Inga, Harriet et Christa, et sa petite-fille, Iris, la narratrice, se retrouvent dans leur maison de famille, à Bootshaven, dans le nord de l’Allemagne, pour la lecture du testament. A sa grande surprise, Iris hérite de la maison et doit décider en quelques jours de ce qu’elle va en faire. Bibliothécaire à Fribourg, elle n’envisage pas, dans un premier temps, de la conserver. Mais, à mesure qu’elle redécouvre chaque pièce, chaque parcelle du merveilleux jardin qui l’entoure, ses souvenirs se réveillent, reconstituant l’histoire émouvante, parfois rocambolesque, mais essentiellement tragique, de trois générations de femmes.
Katharina Hagena nous livre ici un grand roman sur le thème du souvenir et de l’oubli.
Frederic LENOIR: Le Secret
Un autre livre proposé
Que s’est-il donc passé dans la vieille vigne abandonnée où l’on a retrouvé Pierre Morin inanimé après deux jours d’absence ? Dans le village, tous s’interrogent, se passionnent, et cherchent à percer à tout prix son secret.
Un récit captivant d’un genre tout à fait nouveau, aux frontières du conte philosophique et du roman à suspense, dans le cadre d’un petit village des Alpes du sud à la fin du XIXème siècle. Une parabole sur les choix et les valeurs essentielles de notre existence.
J.BAUGIL: La porte capitonnée
Encore une perle issue de notre salon du livre, J.Baugil etait aussi notre invité
Vendredi soir, un quartet de jazz s'apprête à monter sur scène dans le club le plus huppé de la région : ambiance feutrée, configuration cabaret avec ses tables numérotées, un public d'initiés triés sur le volet...
Vendredi soir, un quartet de jazz s'apprête à monter sur scène dans le club le plus huppé de la région : ambiance feutrée, configuration cabaret avec ses tables numérotées, un public d'initiés triés sur le volet...
Tout est réuni pour passer une agréable soirée.
Le club affiche complet.
La veille, l'ultime répétition a rassuré pleinement le groupe.
Une seule ombre va noircir le tableau : un musicien manque à l'appel.
22 heures approchent, le public s'impatiente : le premier set doit commencer...
Pascale ORIOT: "Vous me reconnaitrez"
Anne a adorée le livre de Pascale qui etait l'une de nos deux marraines (avec Helene Legrais) à notre salon du livre
Avec un QI supérieur à 100. le soldat Pierre Dylan se croyait assez futé pour passer entre les mailles de la justice. Afin de mieux identifier un serial killer, il faut comprendre ses motivations internes, des fantasmes qui se traduisent, la plupart du temps, par un rituel élaboré lors de la mise à mort ou juste après.
Et, pour pénétrer au coeur de ses fantasmes, il a fallu à Pascale Oriot se mettre littéralement dans la peau du tueur, écrire à la première personne ce roman magistral « Vous me reconnaîtrez » qui vous coupe le souffle.
Nous sommes en Cerdagne, non loin de Bourg-Madame, à Onzès. La population est confinée entre ses montagnes. Pascale Oriot a du métier. Son roman établit avec un incroyable talent le profil de son tueur en série. Elle décrit minutieusement la manière dont il tue. Par moment, on l'imagine, assise autour d'une table, discutant avec Dylan pour recueillir en direct sa confession.
Ce prédateur au sang froid ne regrettera rien, simplement peut-être l'assassinat du seul ami qu'il croyait tenir.
Ce thriller psychologique explore la dégringolade infernale d'un homme à la recherche de son passé. La motivation première d'un lecteur de thriller étant justement d'être tenu en haleine d'un bout à l'autre, avec "Vous me reconnaîtrez" vous ne serez pas déçu !
Pascale Oriot passe coeurs et âmes au scanner dans un récit où l'intime et le collectif se télescopent jusqu'au vertige.
Quant au soldat Pierre Dylan se serait-il reconnu dans le roman de Pascale Oriot ? Sans nul doute, il aurait applaudi.
Sic blog de A.Bonnet
Avec un QI supérieur à 100. le soldat Pierre Dylan se croyait assez futé pour passer entre les mailles de la justice. Afin de mieux identifier un serial killer, il faut comprendre ses motivations internes, des fantasmes qui se traduisent, la plupart du temps, par un rituel élaboré lors de la mise à mort ou juste après.
Et, pour pénétrer au coeur de ses fantasmes, il a fallu à Pascale Oriot se mettre littéralement dans la peau du tueur, écrire à la première personne ce roman magistral « Vous me reconnaîtrez » qui vous coupe le souffle.
Nous sommes en Cerdagne, non loin de Bourg-Madame, à Onzès. La population est confinée entre ses montagnes. Pascale Oriot a du métier. Son roman établit avec un incroyable talent le profil de son tueur en série. Elle décrit minutieusement la manière dont il tue. Par moment, on l'imagine, assise autour d'une table, discutant avec Dylan pour recueillir en direct sa confession.
Ce prédateur au sang froid ne regrettera rien, simplement peut-être l'assassinat du seul ami qu'il croyait tenir.
Ce thriller psychologique explore la dégringolade infernale d'un homme à la recherche de son passé. La motivation première d'un lecteur de thriller étant justement d'être tenu en haleine d'un bout à l'autre, avec "Vous me reconnaîtrez" vous ne serez pas déçu !
Pascale Oriot passe coeurs et âmes au scanner dans un récit où l'intime et le collectif se télescopent jusqu'au vertige.
Quant au soldat Pierre Dylan se serait-il reconnu dans le roman de Pascale Oriot ? Sans nul doute, il aurait applaudi.
Sic blog de A.Bonnet
jeudi 27 octobre 2011
Sorj Chalandon, Grand Prix du roman de l’Académie française
les lecteurs avaient pariés sur lui pour un Goncourt , en attendant, il rafle un sacré prix et ce n'est pas terminé, il est toujours en course pour le Goncourt et le Prix interallié
belle et dramatique histoire que son roman sur la Guerre d'Irlande.............................
http://www.la-croix.com/Semaine-en-images/Sorj-Chalandon-Grand-Prix-du-roman-de-l-Academie-francaise-_NG_-2011-10-27-728671
Alexis JENNI toujours en course pour de nombreux prix
http://www.francesoir.fr/loisirs/litterature/prix-litteraires-d-automne-c-est-parti-151196.html
A ce soir à tous c'est aussi notre rentréé littéraire
belle et dramatique histoire que son roman sur la Guerre d'Irlande.............................
http://www.la-croix.com/Semaine-en-images/Sorj-Chalandon-Grand-Prix-du-roman-de-l-Academie-francaise-_NG_-2011-10-27-728671
Alexis JENNI toujours en course pour de nombreux prix
http://www.francesoir.fr/loisirs/litterature/prix-litteraires-d-automne-c-est-parti-151196.html
A ce soir à tous c'est aussi notre rentréé littéraire
vendredi 21 octobre 2011
jeudi 20 octobre 2011
Une petite derniere pour un Prix
Delphine de Vigan
avec "Rien ne s'oppose à la
nuit,"(sur la liste de nombreux prix litteraires) beau titre emprunté à une chanson d'Alain Bashung, Osez
Joséphine, Delphine de Vigan recompose pas à pas la trajectoire heurtée de
Lucile : son enfance solitaire, ses égarements, au sein d'une "tribu" qui laisse
s'épanouir le caractère de chacun. L'occasion pour la romancière de retracer
l'histoire d'une famille peu banale : la mort accidentelle de trois enfants, la
naissance d'un frère trisomique, la faconde et la perversité de Georges, "père
nocif, destructeur et humiliant", le charme irrésistible de sa femme, Liane.
Delphine de Vigan retrace le destin tragique de sa mère. Et bouleverse avec cette histoire si vraie. Succès annoncé.
Une histoire à la fois solaire et infernale, lourd héritage dont semble enfin
s'alléger Delphine de Vigan, à 45 ans, en le livrant avec sincérité et
simplicité.
Bon sang, quel bouquin.
Bon sang, quel bouquin.
vendredi 14 octobre 2011
Saluer le service public........... si! si!
Savez-vous que contre toutes les logiques commerciales et la
guerre de « L’Audimat du 20h30 » La 5 ose diffuser une émission
littéraire de très grande qualité dans cette tranche horaire si commerciale.
Alimentée par son excellent présentateur François BUSNEL (du
niveau de Pivot au moins) cette émission est un régal, et qui plus est vous
permet de ne pas veiller et de se délecter sur l’actualité littéraire bien au
chaud, chez nous à des horaires décents.
Alors à vos postes de télévisions le jeudi à 20h30
On dit merci la 5 et le service public.
Hier j’ai aimé
- Cet instant-là
Douglas Kennedy
A la fois drame
psychologique, roman d’idées, roman d’espionnage mais surtout, histoire d’amour
aussi tragique que passionnée, une œuvre ambitieuse portée par le talent
exceptionnel de Douglas Kennedy. Écrivain new-yorkais, la cinquantaine, Thomas
Nesbitt reçoit à quelques jours d’intervalle deux (...) la suite sur le
lien ci dessus
Pour faire connaissance avec Douglas cliquez à droite dans la rubrique "Auteurs cités"
lundi 10 octobre 2011
Le Monde D'Ali................................
"Le Monde d'Ali »
C’est un roman certes, il traite de comment faire une
psychanalyse quand on est Français, né d’un père Algérien musulman, et d’une mère
Polonaise Chrétienne. Et qui plus est chirurgien de métier, élevé dans le
Sentier.
Sauf que ce roman n'est pas une fiction, mais l’autobiographique de Ali Magoudi,
qui pour la cause devient écrivain.
Ali Magoudi était sur la liste des présélectionnés du Goncourt avec son dernier roman, « Un sujet Français »
J’aime ces histoires humaines qui parfois tordent le cou aux
idées reçues sur la citoyenneté, la religion, et le reste…………………………
Pas vous ?
Goncourt
Autre information d'apres les sondages des lecteurs voici le futur Goncourt. Alors lecteurs ou critiques qui va gagner ?
http://www.librairielareserve.fr/retour-a-killybegs-de-sorj-chalandon-ed-grasset/
http://www.librairielareserve.fr/retour-a-killybegs-de-sorj-chalandon-ed-grasset/
Prix nobel de littérature:
Thomas comment vous dites? je ne connais pas! et vous?
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20111006.FAP6074/le-nobel-de-litterature-attribue-au-poete-suedois-tomas-transtromer.html
Renaudot :
Deuxieme selection, Alexis Janni et Emmanuel Carrere toujours dans la coursse
http://livres.fluctuat.net/blog/50606-prix-renaudot-2011-deuxieme-selection.html
Renaudot :
Deuxieme selection, Alexis Janni et Emmanuel Carrere toujours dans la coursse
http://livres.fluctuat.net/blog/50606-prix-renaudot-2011-deuxieme-selection.html
jeudi 6 octobre 2011
Des nouvelles de la rentée Littéraire
Bonjour
Une nouvelle présentation de notre blog,
elle vous plait ? Cela change !
Le Goncourt, cela se précise………………………Alexis
JENNII toujours en course, il aura le Goncourt au premier tour ? Qui parie ?
Malheureusement Emmanuel Carrére
n’aura rien, mais il n’a pas tout perdu…………….
Pensez à mettre des
commentaires. Allons un instant de timidité est vite passé, cela encourage les
autres lecteurs…………….et votre serviteur ……………………………………….
Et puis bientôt je vous parlerai d'un drôle d’écrivain
Et notre prochain café littéraire le
28 octobre on en reparlera bientôt
mardi 4 octobre 2011
Alexis JENNI un inconnu prix Goncourt ? Ce serait chouette
Il y a quelques mois, personne ne parlait de lui, hormis ses élèves en biologie du lycée Saint-Marc de Lyon. Aujoud’hui, les critiques littéraires ne jurent que par cet inconnu, qu’ils voient promis aux prix littéraires les plus convoités, à l’instar d’un certain Jonathan Littell en 2006 avec « Les Bienveillantes ».
Cet anonyme s’appelle Alexis Jenni. Né à Lyon en 1963, il a passé son enfance à Belley (Ain). Son grand-père fut journaliste au « Progrès », avant le sabordage du journal en 1942. Si ses premiers romans n’ont pas rencontré le succès, « L’Art français de la guerre » est d’ores et déjà un phénomène : le pavé d’aventures de 632 pages, qui traverse diverses périodes tout en se frottant au racisme, aux colonies, aux banlieues et au voile, est l’essence même de l’art romanesque.
« L’Art français de la guerre », Gallimard
Copié du journal le Progrés
lundi 26 septembre 2011
La selection du Renaudot
Le jury du Prix Renaudot a livré sa sélection, qui compte sept titres en commun avec celle du Goncourt. Le Renaudot accueille cette année deux nouveaux jurés : Frédéric Beigbeder et Jérôme Garcin.
Emmanuel Carrère, Limonov (P.O.L)
Marien Defalvard, Du temps qu'on existait (Grasset)
Patrick Deville, Kampuchéa (Seuil)
Colette Fellous, Un amour de frère (Gallimard)
Dalibor Frioux, Brut (Seuil)
Alexis Jenni, L'Art francais de la guerre (Gallimard)
Simon Libérati, Jayne Mansfield 1967 (Grasset)
Gilles Martin-Chauffier, Paris en temps de paix (Grasset)
Carole Martinez, Du domaine des murmures (Gallimard)
Eric Reinhardt, Le Système Victoria (Stock)
Jean Rolin, Le Ravissement de Britney Spears (P.O.L)
Shumona Sinha, Assommons les pauvres ! (L'Olivier)
Morgan Sportès, Tout, tout de suite (Fayard)
Anne-Sophie Stefanini, Vers la mer (JC Lattès)
Delphine de Vigan,Rien ne s'oppose à la nuit (JC Lattès)
Cité deja deux fois dans des selections pour un prix mon "chouchou" Emmanuel Carrére avec "LIMONOV"se presente à vous
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=978-2-8180-1405-9
vendredi 23 septembre 2011
Liste des sélectionnés Goncourt 2011
Liste des pré-selectionnés du Goncourt
En avez-vous lu un ? qui est votre préféré?
je vote Emmanuel Carrère (il n'est ni chez Gallimard ni chez Grasset donc aucune chance)
mardi 6 septembre 2011
1ère sélection pour le prix Goncourt 2011
Stéphane Audeguy Rom@ Gallimard
Emmanuel Carrère Limonov POL
Sorj Chalandon Retour à Killybegs Grasset
Charles Dantzig Dans un avion pour Caracas Grasset
David Foenkinos Les Souvenirs Gallimard
Alexis Jenni L’Art français de la guerre Gallimard
Simon Libérati Jayne Mansfield 1967 Grasset
Ali Magoudi Un sujet français Albin Michel
Carole Martinez Du Domaine des Murmures Gallimard
Véronique Ovaldé Des vies d'oiseaux L'Olivier
Eric Reinhardt Le Système Victoria Stock
Romain Slocombe Monsieur le Commandant Nil
Morgan Sportès Tout, tout de suite Fayard
Lyonel Trouillot La belle amour humaine Actes Sud
Delphine de Vigan Rien ne s’oppose à la nuit JC Lattès
mercredi 21 septembre 2011
Salon du livre de Montreal, on reviendra promettent les auteurs
Le calme est enfin revenu après
deux jours de stress. Les tables sont rangées, les poubelles sorties, la salle
est enfin vide, les poussières du fastidieux balayage retombent enfin.
Il tousse.
Baignée par le silence des gens absents, la salle s’endort.
Il tousse.
Baignée par le silence des gens absents, la salle s’endort.
Roger ferme la lourde porte, elle
claque de soulagement, « enfin » pense t’elle.
Fatigué, épuisé, il rentre chez lui.
Il se projette déjà sur l’année prochaine, machinalement. Il sait ce qu’il
devra améliorer.
Mais pour le moment il s’imagine
surtout sous une douche, puis il rêve de son lit douillet. Il a bien travaillé,
demain est un autre jour.
L’article qu’il devra rendre
demain aux aurores lui vient peu à peu, il taquine le clavier cherchant l’angle
qui fera que son article sera différent, il imagine les mots sagement alignés
qui exalteront ses lecteurs qu’il connaît par cœur tant il est s’est investit dans
le village.
Le titre sera « Belle
réussite pour une première au salon du livre ». Trop long ! Faut
raccourcir lui dira son rédacteur en chef. « bref court ». Il
l’entend déjà et sourit.
Il se fait tard, Roger s’épuise,
sa tête est lourde, rien ne vient………………soudain………..
Demain il commencera l’article
par les sourires d’Hélène et de Pascale. Elles ont rayonné le salon, attendri
les durs et enthousiasmé les inconditionnels.
Voila son angle. Les marraines du
salon du livre de Montréal, leur gentillesse, leurs yeux, leur joie de vivre,
leur passion des livres et du partage.
Hélène est une habituée, déjà une
douzaine de livres à succès chez un grand éditeur. Pascale dés son deuxième
livre décroche un magnifique prix réputé et attend un grand événement littéraire
historique………………….il tient son angle.
Roger s’endort, il sourit comme
un gamin…
Le sourire des gens heureux et
simples l’accompagne.
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