jeudi 4 novembre 2010

Prix Medicis et Femina 2011

La vie est breve et le desir sans fin

Patrick LAPEYRE

Prix FEMINA



La vie est brève et le désir sans fin est un livre sur les affres de l’amour, vues du point de vue masculin. Il met en scène deux hommes, l’un marié, à Paris, l’autre pas, à Londres, tous les deux amoureux de la même femme, assez énigmatique, et qui va de l’un à l’autre. Il y a celui qui hésite, et celui qui attend, tous les deux souffrent.
Comment choisir ? Qui choisir ? Ce roman est l’histoire d’une inépuisable et inéluctable souffrance amoureuse plus forte que tout. Et elle est racontée de l’inimitable manière qu’à Patrick Lapeyre de raconter le monde comme il ne va pas. Petites touches d’une acuité et d’une intelligence qui laissent confondu. Événements apparemment anodins qui ne le sont en fait pas du tout. Poétique...

J'ai ce livre en stock en attente de lecture depuis octobre le theme me plait, je vous tiendrai au courant









Le MEDICIS a Malys de KERANGAL
pour : Naissance d'un pont


Elu maire de Coca — une ville située dans une Californie imaginaire — John Johnson, alias le Boa, décide de laisser son empreinte urbanistique dans le paysage. Alors il commande la construction d'un pont monumental reliant sa cité à l'autre berge du fleuve qui la borde. La société Pontoverde enlève le marché, et dépêche sur place Georges Diderot pour superviser le chantier. Attirant des professionnels du monde entier, de la main-d'œuvre à peine qualifiée comme des cadres rompus à ce type d'ouvrage, le pont de Coca devient le centre d'un vaste cosmos humain, le point commun temporaire d'individus aux horizons, aspirations et destins différents. Malgré l'hostilité d'écologistes, la violence furieuse d'un ethnologue, les tentatives de sabotage menées par des sapeurs de tablier, les caprices de la nature et les impondérables du quotidien, le chantier avancera, pile après pile, mois après mois…





"Nagasaki" dépeint la solitude et l'absurdité du réel. C'est Un simple fait divers dans un quotidien du matin à Nagasaki où tout commence par des disparitions et des déplacements d'objets.

« Clandestine depuis un an. Il s’étonnait de voir des aliments disparaître de sa cuisine : un quinquagénaire célibataire des quartiers sud a installé une caméra et constaté qu’une inconnue déambulait chez lui en son absence. », lit-on dans le roman.

4 commentaires:

  1. Avec ou sans prix, j'avais déjà très envie de lire Nagasaki dont m'a parlé ma bibliothécaire.

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  2. "la vie est breve, et..........."
    et c'est pour cela que je n'arrive pas a terminer ce livre
    page 56 en panne page 61 stop
    j'y reviendrai plus tard
    patrick

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  3. giraldine
    tiens moi au courant de ta lecture
    a bientot

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  4. "la vie est breve et le desir sans fin".........oufffffffff,j'ai bien cru ne jamais terminer la lecture de ce livre!dur , dur !le prochain ,je vais me méfier et choisir un livre qui n'a pas de prix!

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