
Le récit lui même reprend les principaux éléments des Confessions de Rousseau : cette volonté de ne rien cacher même si la vérité n’est pas toujours belle. Todd raconte sans complaisance sa jeunesse en écosse, la boucherie de 14-18 et le reste de sa vie sans fard...
On participe au passage avec lui à l’avènement du Cinéma et de son industrie florissante.
Le récit se termine en exil dans un coin perdu de la Méditerrannée où Todd attend la mort, désabusé.
L’histoire est enlevée et plaisante et William Boyd sait mettre en scène les petites anecdotes de la vie aussi bien que les grands événements de l’Histoire. On rit beaucoup avec ce personnage obsédé et frustré
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