mardi 7 décembre 2010

Rencontre avec Georges Patrick Gleize

Quelques photos valent mieux que de longs discours,(les voir sur l'album a droite) comme toujours le café littéraire a rassemblé les amoureux du livre.
Je crois que nous nous sommes tous bien amusés.
Merci à toutes les lectrices, Monique, les deux Myriam, Claudie, et Dany pour leur travail et surtout d’avoir osé.
Georges Patrick Gleize comme à son habitude fut un fabuleux conteur, pour preuve les nombreuses demandes de dédicace à la fin de notre soirée

Et merci au comité des fêtes, ainsi qu'a Roger Lemoine de l'Independant pour ses articles.

Rendez vous le 25 février sur le thème du « livre policier »
Je mène mon enquête pour trouver un auteur, je suis sur des pistes, si vous en connaissez un, merci de me le dire

Sur la droite du blog cliquez sur le lien "georges patrick gleize....." photos de la soirée
A bientôt
PS la cagnotte est à 80€ pour l'association GAEL merci à vous
Patrick

samedi 4 décembre 2010

Les "CAFE LITTERAIRE de Villeneuve les Montreal"de 2011


Les prochains « café littéraire » se dérouleront les :

25 février : Sujet: le livre policier
1er Invité: Luc Fuentes avec ses deux livres, "Aude Rouge" et "D'or et de sang"
son site:
2 eme Invité: Henri Terres pour son premier roman "Vernissage à haut rique", l'histoire d'une singuliére amitié


29 avril : Avec l’association des Circulades de l’Aude: "la littérature d’Amérique du sud" avec Michel BOLASELL :
« Parler de la littérature d'Amérique Latine est un vaste sujet qu'on ne pourrait que survoler, l'espace d'une conférence.
Outre la présentation de mes deux livres aux quels il faut ajouter un roman "Terminus Ushuaia" paru aux Editions du Serpent à Plumes, je vous propose d'évoquer quelques auteurs d'Argentine et du Chili Pablo Neruda, Sepulveda et Coloane pour le Chili. Et Cortazar, Eduardo Mallea et Borges sur le plan Argentin »sic Michel Bolasell
Déjà un fabuleux programme

24 juin : Soirée Poésie avec l’association « Terpsichore »
http://www.poesie-terpsichore.eu/



26 Août : Sortie littéraire ? A confirmer.

samedi 20 novembre 2010

Le café litteraire reçoit Georges Patrick GLEIZE


Vendredi 3 decembre de 20h 30 a 10h30 (avec une pause café) à la salle des fetes de Villeneuve les Montreals
Georges Patrick GLEIZE Auteur de 8 livres chez Albin Michel
Un ecrivain attaché à sa region et son departement l'Ariege

Rencontre, échanges, dédicaces, tour d'horizon de ses 8 livres, et tout particulierement son dernier :


"l'Auberge des Myritilles"

Une bonne idée de cadeau pour noel


Ouvert à tous


1€ entrée reverssée à l'association GAEL


Reinseignements 06 12 22 74 18






dimanche 7 novembre 2010

Prix Medicis Etranger à David Vann

Jim Fenn, réside à Fairbanks, Alaska, où il exerce la profession de dentiste. Rien ne va plus vraiment entre lui et sa compagne Rhoda. Côté professionnel, les choses ne sont guère plus reluisantes. Il décide donc de se donner un an pour se resituer, pour remettre de l’ordre dans sa vie. Son projet est à la fois simple et radical: il liquide tout, achète une cabane sur l’île de Sukkwan et entend bien y passer un an, loin de toute civilisation, en parfaite autarcie. Seule une radio le relie au monde et, en cas de gros problème, il peut prévenir le pilote de l’hydravion, moyen de locomotion le plus rapide, qui passera d’ailleurs à intervalles plus ou moins réguliers dans les parages. Le désormais ex-dentiste propose cette aventure aux relents de « struggle for life » à Roy, son fils de 13 ans, qui vit une existence tranquille d’adolescent avec sa mère, la première femme de Jim, et sa soeur à des milliers de kilomètres de là, en Californie précisément.

Moyennement enthousiaste, le jeune garçon accepte malgré tout. Un peu pour faire plaisir à ce père éloigné. Un peu sous la pression d’une mère froide et distante.

Très vite, presqu’à leur arrivée en fait, Roy sent que cette expérience va vite tourner au vinaigre. Aigre en plus: son père se révélant en dessous de tout. Affectivement, psychologiquement, humainement.

Le lecteur va alors suivre la longue descente de ces deux personnages qui vont s’enfoncer, se débattre pour ne pas sombrer mais qui ne font qu’accélérer la tragédie au lieu de l’éloigner.


Une revelation matinale ,

ce matin en regardant "la grand librairie sur la 5, j'ai été enthousiamé par David Vann et son roman: Sukkwan Island

Dés lundi je file chez mon libraire, on verra si le lmivre est à la hauteur


et tant pis s'il a eu un prix.......................................




jeudi 4 novembre 2010

Prix Medicis et Femina 2011

La vie est breve et le desir sans fin

Patrick LAPEYRE

Prix FEMINA



La vie est brève et le désir sans fin est un livre sur les affres de l’amour, vues du point de vue masculin. Il met en scène deux hommes, l’un marié, à Paris, l’autre pas, à Londres, tous les deux amoureux de la même femme, assez énigmatique, et qui va de l’un à l’autre. Il y a celui qui hésite, et celui qui attend, tous les deux souffrent.
Comment choisir ? Qui choisir ? Ce roman est l’histoire d’une inépuisable et inéluctable souffrance amoureuse plus forte que tout. Et elle est racontée de l’inimitable manière qu’à Patrick Lapeyre de raconter le monde comme il ne va pas. Petites touches d’une acuité et d’une intelligence qui laissent confondu. Événements apparemment anodins qui ne le sont en fait pas du tout. Poétique...

J'ai ce livre en stock en attente de lecture depuis octobre le theme me plait, je vous tiendrai au courant









Le MEDICIS a Malys de KERANGAL
pour : Naissance d'un pont


Elu maire de Coca — une ville située dans une Californie imaginaire — John Johnson, alias le Boa, décide de laisser son empreinte urbanistique dans le paysage. Alors il commande la construction d'un pont monumental reliant sa cité à l'autre berge du fleuve qui la borde. La société Pontoverde enlève le marché, et dépêche sur place Georges Diderot pour superviser le chantier. Attirant des professionnels du monde entier, de la main-d'œuvre à peine qualifiée comme des cadres rompus à ce type d'ouvrage, le pont de Coca devient le centre d'un vaste cosmos humain, le point commun temporaire d'individus aux horizons, aspirations et destins différents. Malgré l'hostilité d'écologistes, la violence furieuse d'un ethnologue, les tentatives de sabotage menées par des sapeurs de tablier, les caprices de la nature et les impondérables du quotidien, le chantier avancera, pile après pile, mois après mois…





"Nagasaki" dépeint la solitude et l'absurdité du réel. C'est Un simple fait divers dans un quotidien du matin à Nagasaki où tout commence par des disparitions et des déplacements d'objets.

« Clandestine depuis un an. Il s’étonnait de voir des aliments disparaître de sa cuisine : un quinquagénaire célibataire des quartiers sud a installé une caméra et constaté qu’une inconnue déambulait chez lui en son absence. », lit-on dans le roman.

lundi 1 novembre 2010

L'insomnie des etoiles de Marc DUGAIN

un oubli du café littéraire du 29 octobre
C'est claude qui nous regale:
Les personnages de ce roman évoluent dans un contexte historique. A l'automne 1945, alors que Berlin est sur le point d'être divisée par les Alliés, une compagnie de militaires français en patrouille dans le sud du pays est intriguée par une vieille ferme isolée. Entrés dans l'intention de procéder à une fouille, ils tombent sur une jeune fille sauvage qui semble y vivre seule. Le mystère s'épaissit quand ils découvrent un cadavre calciné. Les militaires interrogent la jeune fille, mais elle est incapable de leur fournir des explications cohérentes. Seul le capitaine Louyre s'acharne à découvrir son secret.

L'insomnie des étoiles confirme l'attrait de l'auteur pour les romans historiques. Il avait déjà abordé les rouages du gouvernement soviétique dans sa précédente publication

dimanche 31 octobre 2010

29 Octobre la reprise en fanfare

C’est la reprise du 4 eme café littéraire de Villeneuve les Montréal et des environs.

Encore du monde pour la soirée de reprise du café littéraire de Villeneuve les Montréal. Nous souhaitons une bienvenue à Luc, nouvel amateur de « lectures à partager ».
Cela faisait 4 mois que nous nous étions séparés pour profiter tous de vacances méritées et sûrement très studieuses compte tenu des nombreux livres présentés.
Soirée encore très riche, si l’on en croit à la fin de la soirée, du nombre de livres échangés par les divers participants.
Les dates des futurs « cafés littéraires » sont confirmées (voir liste à gauche du blog).
Les thèmes aussi, avec « Le policier », « Littérature d’Amérique latine », « Auteur local ». À chaque fois, un auteur sera invité sur le thème, nous partagerons avec lui ses écrits. Si le temps nous le permet, nous échangerons comme d’habitude sur les livres que nous avons aimés.
Prochain café littéraire : « Les livres de Noël : un beau cadeau », le 3 décembre.
Pour cela, le café littéraire recevra l’écrivain Georges Patrick Gleize, auteur chez Albin Michel de 8 romans. Quelques uns de ses livres ont été distribués, les lecteurs lui poseront des questions.
C’est l’occasion d’offrir un livre dédicacé pour Noël !
C’est notre premier rendez vous avec un auteur, je compte sur chacun de vous pour convaincre une à deux personnes de vous accompagner.
Des affiches ont été distribuées pour affichage vers le 15 novembre.
Merci à chacun de son implication à réussir cette soirée, et merci aussi à Monsieur Lemoine de l’Indépendant, correspondant local au soutien très apprécié.
Et maintenant, place aux livres.

A penser : Après-midi rencontre avec D. Hernandez, écrivain à Villelongue, le 11 décembre.
La collecte pour l'association GAEL a rapporté 20€

Les reliques de la mort (Harry Potter)J.K ROWLING


C'est Marie noelle qui se jette :

Vous savez déjà presque tout sur Harry Potter, puisque vous avez déjà lu les six premiers tomes de la saga de votre héros préféré. Il ne vous reste qu’à lire le meilleur aujourd’hui, puisque vous allez commencer la lecture du dernier opus de la saga, le très attendu Harry Potter et les reliques de la mort. Rassurez-vous, on ne vous révélera pas ici comment se termine Harry Potter 7 ! Nous vous raconterons simplement ici les principaux événements relatés dans ce dernier tome, pour vous donner envie de vous plonger au plus vite dans la lecture de ces palpitantes aventures.
Après la perte de son parrain, ainsi que la mort de Dumbledore, Harry se retrouve plus seul que jamais. Les évènements se précipite et il est amené à faire face à son propre destin. Une mission périlleuse et obscure lui sera confiée. Il s'agit de retrouver et de détruire les Horcruxes pour l’emporter définitivement sur Voldemort. Harry y parviendra-t-il ? Dans sa quête, il bénéficie de l'héritage de Dumbledore. Celui-ci a fait don de divers objets à l'intention de Harry et de ses deux amis, Ron et Hermione. L'Éteignoir de Dumbledore, qui possède le pouvoir de capturer les lumières, est remis à Ron. Les contes de Beedle le Barde, un livre de contes pour enfants écrits en runes antiques, revient à Hermione. Quant à Harry, il doit recevoir l’épée de Godric Gryffondor et le Vif d'or qu’il avait réussi à attraper lors de son premier match de Quidditch. Cependant, le ministère de la magie refuse de lui remettre l'épée, car celle-ci n'aurait pas vraiment appartenu à Dumbledore…
A la suite du mariage de Fleur Delacour et de Bill Weasley (le frère de Ron), les trois jeunes sorciers partent à la recherche des Horcruxes. Mais une question se pose : à quoi ressemblent-elles ?
Une épée de Damoclès semble donc prête à s'abattre sur le jeune sorcier. Et ses démons le rongent. En effet, Harry veut surtout punir Séverus Rogue, qui a assassiné le professeur Dumbledore. Ce dessein pourrait bien finir par lui nuire dans sa lutte contre Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Et ce, bien que Harry ait le soutien de ses deux amis, Hermione et Ron, qui sont toujours à ses côtés. Pour le meilleur, comme pour le pire, parviendra t-il à mener à bien sa mission ?

Le dernier chapitre débute dix-neuf ans après cette ultime quête. Vous y découvrirez ce que vos héros sont devenus. Et au terme de ces 850 pages, Harry Potter n'aura plus de secrets pour vous. On ne peut que conclure par une prophétie : Harry Potter 7 nous confirme que les plus belles histoires ont une (belle) fin.
Marie noelle presente aussi: l'amour est tres sublimé, "oui bof" son commentaire

Funerailles celestes de XINRAN


Dany poursuit la soiré avec:
Shu Wen est une jeune chinoise originaire de Nankin. Elle fait ses études de médecine et décide de se spécialiser en dermatologie. À l’université, elle fait la rencontre d’un autre étudiant, Kejun, qui travaille aussi comme assistant de laboratoire. Ayant perdu toute sa famille pendant la guerre sino-japonaise, le gouvernement finance les études de Kejun qui est doux et gentil avec tout le monde. Il travaille dur et c’est un étudiant exceptionnel. L’armée ayant un besoin urgent de chirurgien, Kejun pense à s’engager. Il part et Shu Wen n’a aucunes nouvelles pendant deux années. À son retour, Kejun termine ses études et le jeune couple décide de se marier. Il a vingt-neuf ans et Shu Wen vingt-six. Le mariage est célébré mais seulement trois semaines plus tard, l’unité de Kejun est envoyée au Tibet. Shu Wen attend impatiemment son retour mais elle reçoit une convocation au quartier général de Suzhou pour apprendre que son mari est mort dans un incident survenu à l’est du Tibet le 24 mars 1958, à l’âge de vingt-neuf ans.

Mais Shu Wen refuse de croire à la mort de Kejun. Elle décide de partir au Tibet pour tenter de le retrouver. L’armée ayant désespérément besoin de médecins, le diplôme de dermatologie de Wen la rend précieuse à leurs yeux. Elle part donc avec l’armée pour une quête qui durera une trentaine d’années pendant laquelle Wen sera recueillie par une famille de nomades tibétains avec laquelle elle vivra de nombreuses années en compagnie d’une amie tibétaine, Zhuoma, rencontrée dans l’armée et qui est elle aussi à la recherche de son amour disparu.

L’histoire de Shu Wen, cette jeune médecin chinoise devenue une tibétaine d’âge mûr, est véridique. L’auteur Xinran, est journaliste à Pékin et anime une émission de radio lorsqu’elle rencontre, en 2003, cette femme extraordinaire qu’est Shu Wen. Elle recueillera ses confidences avant de la perdre de vue. Depuis ce temps, elle est à sa recherche et une émouvante lettre pour Wen accompagne le récit.

J'aurai préféré vivre de Thierry COHEN


Monique a aimé, et nous conte:
Le 8 mai 2001, jour de ses vingt ans, Jérémy se suicide. Victoria, la femme qu'il aime, l'a rejeté.
Le 8 mai 2002, il se réveille près de Victoria, folle d'amour pour lui.
Est-il vraiment mort ?
Jérémy devient alors le spectateur d'une vie qui lui échappe. Une vie étrange, dans laquelle sa personnalité est différente, change, évolue, l'inquiète.
Au fil des jours et des réveils, Jérémy va dérouler le fil d'un destin qu'il n'a pas choisi... le sien.

Concerto a la menace d'un ange de Eric Emmanuel Shmitt

Collette prends la parole avec:
Quel rapport entre une femme qui empoisonne ses maris successifs et un président de la République amoureux ? Quel lien entre un simple marin et un escroc international vendant des bondieuseries usinées en Chine ? Par quel miracle une image de sainte Rita, patronne des causes désespérées, devient-elle le guide mystérieux de leurs existences ? Tous ces héros ont eu la possibilité de se racheter, de préférer la lumière à l'ombre.
A chacun, un jour, la rédemption a été offerte. Certains l'ont reçue, d'autres l'ont refusée, quelques-uns ne se sont aperçus de rien. Quatre histoires liées entre elles. Quatre histoires qui traversent l'ordinaire et l'extraordinaire de toute vie. Quatre histoires qui creusent cette question : sommes-nous libres ou subissons-nous un destin ? Pouvons-nous changer ? Concerto à la mémoire d'un ange est suivi du Journal tenu par Eric-Emmanuel Schmitt durant l'écriture.

Le coeur cousu de Carole MARTINEZ


C'est Ans qui propose :
Le cœur cousu de Carole Martinez est l'histoire d'une famille assez particulière, les Carasco, vivant au fin fond de l'Espagne de la fin du XIXème siècle. Frasquita, une mère au don de couturière, un peu magicienne ou même sorcière aux dires des jalouses du village. Elle sera jouée et perdue par son mari, totalement obsédé par son coq rouge qu'il entraîne aux combats. Rejetée par le village pour l'adultère avec l'homme au parfum d'olives qui l'a gagnée, elle se voit condamnée à l'errance à travers le pays, une révolte de paysans, jusqu'à la mer.... Elle se posera finalement sur l'autre rive avec sa ribambelle de gamins tous dotés eux aussi de dons surnaturels.

Une succession de contes, de fables... où la frontière entre le réel et l'imaginaire est aussi fine de la plus fine des soies. Chacun des personnages de cette histoire mériterait bien un roman à lui tout seul. On y trouve un homme qui sent le parfum de ses oliviers et un ogre (je vous certifie que vous aurez vraiment peur), un révolutionnaire, une femme-enfant solaire, une autre qui donne la mort avec ses baisers, deux femmes qui aident (comprenez des sages-femmes) la Maria et la Blanca, merveilleuses d'humanité..... Cela parle d'une mère et de ses enfants, des filles, de la transmission de secrets, de prières, de croyances et de superstitions, d'une boite magique mystérieuse, d'amour et de douleurs, de beauté, de peurs, de la passion du jeu, d'une fratrie extraordinaire.
Ans presente egalement "En,fants 44 " de Tom rob Smith "boulverssant".

Orages Ordinaires de William BOYD


Francis nous narre:
Adam Kindred, jeune climatologue désireux de restituer un dossier à son propriétaire, un médecin, le retrouve poignardé chez lui. Afin d'échapper au tueur qu'il a surpris, et à la police car tout l'accable, il se crée un refuge au bord de la Tamise et peu à peu se clochardise. Désertant un Londres indifférent au sort de ses marginaux, il se mêle aux bas-fonds de l'East End et à une société interlope plongée dans un enfer moderne. Son enquête inlassable l'amène à démasquer la conspiration de puissantes firmes pharmaceutiques prêtes à commercialiser un traitement contre l'asthme, très lucratif pour elles, mortel pour des milliers d'enfants.

Les femmes du braconnier de Claude PUJADE-RENAUD


Claude aime nous raconter:

C’est en 1956, à Cambridge, que Sylvia Plath fait la connaissance du jeune Ted Hughes, poète prometteur, homme d’une force et d’une séduction puissantes.
Très vite, les deux écrivains entament une vie conjugale où vont se mêler création, passion, voyages, enfantements. Mais l’ardente Sylvia semble peu à peu reprise par sa part nocturne, alors que le “braconnier ” Ted dévore la vie et apprivoise le monde sauvage qu’il affectionne et porte en lui. Bientôt ses amours avec la poétesse Assia Wevill vont sonner le glas d’un des couples les plus séduisants de la littérature et, aux yeux de bien des commentateurs, l’histoire s’achève avec le suicide de l’infortunée Sylvia.

Attentive à la rémanence des faits et des comportements, Claude Pujade-Renaud porte sur ce triangle amoureux un tout autre regard. Réinventant les voix multiples des témoins – parents et amis, médecins, proches ou simples voisins -, elle nous invite à traverser les apparences, à découvrir les déchirements si mimétiques des deux jeunes femmes, à déchiffrer la fascination réciproque et morbide qu’elles entretiennent, partageant à Londres ou à Court Green la tumultueuse existence du poète.
L’ombre portée des œuvres, mais aussi les séquelles de leur propre histoire familiale – deuils, exils, Holocauste, dont elles portent les stigmates -, donnent aux destins en miroir des “femmes du braconnier” un relief aux strates nombreuses, dont Claude Pujade-Renaud excelle à lire et révéler la géologie intime.

Punie de Vanessa STEEL


Nathalie nous propose:

La vie de Vanessa était une succession d'abus et de tortures commis par une mère sadique.
La petite fille était aux portes de la mort lorsqu'un mystérieux don la sauva du pire. Ceci est l'incroyable récit de sa vie. Depuis sa naissance, la petite Vanessa vit dans la terreur, sous la coupe d'une mère sadique qui n'hésite pas à la torturer, à la laisser dormir dehors en plein hiver, ou à la livrer aux appétits sexuels de son grand-père. A l'âge de 8 ans, lorsqu'elle apprend qu'elle a été adoptée, Vanessa comprend que sa mère adoptive la hait plus que tout au monde.
La spirale des tortures sexuelles, physiques et mentales devient alors insoutenable... C'est à ce moment-là que des phénomènes étranges commencent à se produire. Vanessa développe peu à peu des dons paranormaux qui vont l'aider à supporter l'horreur de sa situation, et qui la conduiront à devenir l'un des médiums les plus réputés d'Angleterre

Oracle de la Luna de Frederic LENOIR


Marie Odile nous presente un livre que P.M avait lui aussi tres apprécié

(voir commentaires plus bas )
Un livre qui commence à faire le tour du café littéraire

Dieu et nous seuls pouvons de Michel FOLCO


Luc nous conte:

En 1663, un nourrisson au nez arraché est découvert à l'entrée d'une abbaye de l'Aveyron. En attendant son adolescence (l'âge où il pourra devenir à son tour moine novice), l'abbé confie l'enfant au couple Coutouly. Ceux-ci élèvent le petit Justinien Trouvé (Justinien en l'honneur de l'empereur de Byzance qui avait lui aussi le nez coupé, Trouvé parce que c'est un enfant trouvé) comme leur propre enfant. Justinien devient un gamin intelligent, vif et fort instruit, toutefois, à la puberté, il n'envisage pas avec plaisir de devenir moine. De là, sa vie entière prend un tournant inattendu. D'aventures en aventures, il se retrouve injustement accusé d'être un bricon rôdant dans le village de Bellerocaille-en-Rouergue et condamné à 20 ans de galères. Mais alors qu'il attend avec angoisse son futur départ pour les galères, son geôlier lui propose un moyen d'obtenir sa grâce... Bellerocaille n'a alors pas de bourreau et un homme vient d'être condamné à mort pour un crime horrible. Or, malgré une offre généreuse de rémunération, personne dans le village n'a manifesté l'envie d'exécuter l'assassin. Justinien, un peu rétif au départ, finira par se résoudre à cette solution... Et sous le nom de Justinien Pibrac, il deviendra l'ancêtre fondateur d'une des plus importante lignées de bourreaux de France.
Luc presente aussi : un loup est un loup, en avant comme avant, meme le mal se fait bien du meme auteur

Les Amants de Gibraltar de Dominique BAUDIS


Patrick termine la soirée :
Constantinople, VIIIe siècle de notre ère. L'Empire Romain d'Orient, fragilisé, se bat contre les armées arabes. L'empereur Justinien II, écarté du pouvoir des années auparavant, remonte sur le trône. De retour dans sa ville, le nez tranché, assoiffé de vengeance, il fait exécuter les usurpateurs, se marie en grande pompe, et entreprend de résister aux invasions arabes. Il envoie son conseiller Angelos, l'érudit cartographe, en mission d'espionnage de Damas à Ceuta, de Tanger à Kairouan. Déguisé tour à tour en moine ou en vénitien, Angélos est reçu par les plus puissants gouverneurs de la région : pour éviter la prise de Constantinople, il tente de détourner sur la péninsule ibérique l'expédition projetée par le calife de Damas. C'est ainsi qu'il fait successivement alliance avec Julien, le gouverneur byzantin de Ceuta, avec Moussa, l'émir omeyyade de Kairouan, ou avec son vassal d'origine berbère Tarak, qui donnera son nom au détroit de Gibraltar : Jebel Tarak.

Une vie de Simone VEIL


Florence anime la soirée avec: De son enfance niçoise dans une famille juive complètement assimilée, et de sa déportation à Auschwitz avec sa mère et l’une de ses sœurs en mars 1944, jusqu’à ses fonctions les plus récentes, elle a su s’imposer comme une figure singulière et particulièrement forte dans le paysage politique français. Femme libre s’il en est, elle a exercé le pouvoir sans jamais le désirer pour lui-même mais pour améliorer, autant qu’elle l’a pu, les conditions de vie de ses concitoyens : à l’administration pénitentiaire, puis au ministère de la Santé dans le gouvernement Chirac sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing – c’est là qu’elle fait voter, contre son camp, la loi sur l’IVG ; à la présidence du Parlement européen, où elle se montre capable de tenir tête au Premier Ministre français, Raymond Barre ; comme ministre des Affaires Sociales, de la Santé et de la Ville dans le gouvernement dirigé par Balladur et présidé par François Mitterrand ; au Conseil constitutionnel ainsi qu’à la Fondation pour la mémoire de la Shoah.
Fidèle à ce qu’elle estime être la fonction des rescapés des camps de la mort, elle a témoigné, chaque fois qu’elle l’a pu, en France comme partout, de son expérience d’Auschwitz.
Mais cette femme de mémoire n’est jamais nostalgique, jamais passéiste, elle n’a souci que du monde de demain, celui qu’elle lèguera à ses petits-enfants et à ses arrière-petits enfants dont la place est grande dans sa vie.

mardi 26 octobre 2010

Michel Houellebeck toujours en course

Site de l'Academie Goncourt avec la liste des derniers selectionnés


http://www.academie-goncourt.fr/

Olivier Adam Le coeur régulier L’Olivier
Thierry Beinstingel Retour aux mots sauvages Fayard
Virginie Despentes Apocalypse bébé Grasset
Mathias Enard Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants Actes Sud
Michel Houellebecq La carte et le territoire Flammarion
Maylis de Kerangal Naissance d’un pont Verticales
Chantal Thomas Le testament d'Olympe Seuil
Karine Tuil Six mois , six jours Grasset


Je vois que Houellebecq est dans la course, il aurait le Goncourt(à ce qui se dit) avant meme les votes!!!!!!!

le site de la rumeur
http://www.leblogtvnews.com/article-michel-houellebecq-prix-goncourt-2010-rumeurs-59665056.html

vendredi 17 septembre 2010

Tous les selectionnés Goncourt sur un seul site


Site de la librairie Sauramps à Montpellier, tres bien fait, vous y trouverez un resumé de tous les Goncourts en lice


Pour info je vais acheter bien entendu:


"Une année chez les Français "

Laroui, Fouad Editions Julliard


En 1970, le jeune Medhi Khatib a obtenu grâce à son instituteur une place dans le prestigieux lycée Lyautey de Casablanca. Il découvre avec étonnement un univers loin de son cercle familial. Quand les parents de l'un de ses camarades acceptent de l'accueillir chaque week-end, pour permettre la fermeture de l'internat, Medhi s'introduit dans l'univers à part des Français du Maroc.



Pour qui voteriez vous ?



Vassilis Alexakis: Le premier mot


Résumé du livre

Le Premier mot s’inscrit fidèlement dans l’univers littéraire de Vassilis Alexakis, il décline en particulier les thèmes du rapport affectif à la langue maternelle et de la relation identitaire des immigrés à la culture de leurs patries. La trame du récit tient en peu de mots : un savant grec enseignant à Paris décède après avoir confié à sa sœur, non moins âgée que lui, la poursuite de la recherche à laquelle il a voué sa vie, celle du Premier mot de l’humanité. Comme l’enquête d’Ap.J.C. (Grand prix de l’Académie française en 2007), cette quête érudite annonce une intrigue plus proche du genre de l’essai que du genre romanesque, bien qu’elle se développe sur un mode fictionnel (voire autofictionnel). Effectivement, Le Premier mot relate une initiation intellectuelle conduite sous la forme d’un dialogue entre l’héroïne, vieille dame solitaire sans grande expérience du monde, et ses doctes interlocuteurs, éminents linguistes et anthropologues. En mettant en scène un tel protagoniste dans son style sobrement correct, l’écriture d’Alexakis prend parfois un ton didactique malheureux, néanmoins elle a l’intelligence de ne jamais apparaître ni austère ni intello. Contrairement aux grands romans précédents, chargés de l’héritage culturel grec, celui-ci ne frappe pas particulièrement par son érudition, car il cite le plus souvent des curiosités linguistiques bien connues. Heureusement, ce propos anecdotique est ponctué d’élans généreusement engagés qui culminent dans l’excellent avant-dernier chapitre. Le narrateur se positionne contre la doctrine linguistique créationniste et contre la comparaison de la valeur des langues entre elles, de même qu’il s’oppose à la politique sarkozyste de l’immigration.
Ce nouveau récit d’un écrivain de longue route, s’il n’est pas son plus réussi, se distingue tout de même dans cette rentrée littéraire par sa générosité et son intelligence.

Quelques liens




Le coeur régulier – Olivier Adam


Un des ecrivains selectionné au Goncourt 2011

Le Coeur régulier met en scène Sarah, jeune femme au point de bascule, à ce moment de la vie où tout peut s'effondrer. Olivier Adam se glisse dans sa peau avec autant de facilité que dans celle de Marie, l'héroïne d'A l'abri de rien. Comme tous ses personnages, Sarah est en fuite, elle se sauve pour se sauver, elle est venue au Japon, « le coeur en cavale », sur les traces de son frère, mort quatre mois plus tôt dans un accident de voiture, peut-être suicidaire. Sarah soudain n'en peut plus, ne joue plus, elle a laissé, en banlieue parisienne, sa vie trop formatée, son mari « si parfait » et ses deux enfants. A l'instar de Paul, le héros des Vents contraires, c'est elle qu'elle cherche, noyée dans le vide de son existence.
Olivier Adam excelle à dire les gestes inachevés, les mots au bord des lèvres, les élans avortés, la tendresse retenue. Avec une grâce à vous mouiller les yeux. Il dit, avec une grande simplicité de moyens, la sécheresse d'un monde d'individus solitaires, sans pitié pour les plus fragiles. « Toujours il en revenait là, la violence morale qui s'exerçait à l'école, au travail, dans le couple. L'usure et les humiliations, la pression sociale, le culte du rendement, du gagnant, du vainqueur, le cynisme et l'exclusion, comment tout cela pouvait vous briser les os. » Poète de la sensation, charnel et énergique, il cherche, derrière la glace de son univers, l'étincelle de lumière, la chaleur d'un regard, la beauté d'un ciel, la paix d'un paysage, la consolation, le battement retrouvé d'un coeur régulier. « Personne n'a envie de mourir. Tout le monde veut vivre. Seulement, à certaines périodes de votre vie, ça devient juste impossible.»
Quelques liens



Bonne lecture, a bientot

lundi 13 septembre 2010

Goncourt , pour qui voteriez vous?


Bonjour chers amis lecteurs


ci joint la liste des "Goncourts"

qui sera le prochain?


Pour les critiques il ne peut échapper à M.Houellebecq. C'est vrai qu'il est partout.


lundi 6 septembre 2010


Olivier Adam Le coeur régulier L’Olivier

Vassilis Alexakis Le premier mot Stock

T. Beinstingel Retour aux mots sauvages Fayard

Vincent Borel Antoine et Isabelle S. Wespieser

Virginie Despentes Apocalypse bébé Grasset

Marc Dugain L'insomnie des étoiles Gallimard

Mathias Enard Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants Actes Sud

Michel Houellebecq La carte et le territoire Flammarion

Maylis de Kerangal Naissance d’un pont Verticales

Patrick Lapeyre La vie est brève et le désir sans fin P.O.L

Fouad Laroui Une année chez les Français Julliard

Amélie Nothomb Une forme de vie Albin Michel

Chantal Thomas Le testament d'Olympe Seuil

Karine Tuil Six mois , six jours Grasset


vendredi 3 septembre 2010

Rentrée litteraire la profusion


Les mastodontes de l'écriture sont au rendez vous, plus de 700 livres nouveaux. Ils ont tous écrit quelque chose, à nous de trier.

En accord avec Claudie, la prochaine réunion du 28 octobre de notre café littéraire ne se fera pas sur le thème de la Poésie, mais sur la littérature.
En effet, il y a une actualité pléthorique en ce moment. Nous avons pensé que nous devions favoriser nos échanges sur nos lectures.
Pour la prochaine réunion, je vous propose de :
- Mettre en place l’organisation pour recevoir Georges Patrick Gleizes en décembre.
- Echanger sur nos dernières lectures depuis le 18 juin.
- Décider des thèmes des réunions de 2011.

Ci-joint quelques sites sur la rentrée littéraire :


http://livre.fnac.com/Les-auteurs-de-la-rentree-litteraire-Fnac/sa168138


http://www.lemonde.fr/livres/article/2010/01/01/la-rentree-litteraire-promet-un-programme-de-belle-qualite_1286666_3260.html


http://www.mediapart.fr/dossier/culture-idees/livres-une-rentree-2010



Bonnes lectures et à bientôt

Patrick

Ps n’hésitez pas à laisser un message si vous souhaitez nous parler dés aujourd’hui d’un livre qui vous a particulièrement plu.
Je le mettrai en ligne.

samedi 19 juin 2010

Café Littéraire du 18 juin


Comme à son habitude ce 3eme café littéraire a retenu l’attention de nombreuses personnes amoureuses de la belle lecture, du partage et de la convivialité de se retrouver pour échanger une même passion, les mots et les phrases, et les livres
Le café littéraire a accueilli avec plaisir des nouveaux membres.
Farid KHERDOUCHE de contact FM 88.8 était des notre, nous reflechissons à un travail commun , merci

Les informations

Les nouvelles dates de 2011

25 février
29 avril
24 juin
28 octobre
2 décembre

Nous avons convenu aussi de développer l’idée de « un thème un auteur » c’est à dire trouver un thème de rencontre littéraire, et d’inviter un auteur à débattre sur ce thème
La 1ere heure serait consacrée à échanger comme à notre habitude nos lectures sur ce thème, la seconde, de partager avec l’auteur ses ecris sur le thème

Thèmes retenus (non exhaustif)
Policier, poésie, roman de l’Amérique du sud, et d’autres à trouver, (je propose auteur régional, un coup de pouce)

Prochaines réunions café litteraire 2010

29 octobre : la poésie (pensez a prendre un cahier et un stylo) nous vous ferons parvenir le déroulement de la soirée plus tard

3 décembre « le livre de noël » un livre dédicacé à offrir, à choisir parmi les 8 livres de Georges Patrick Gleizes écrivain Ariégeois chez Albin Michel. Georges patrick nous fait l’honneur de participer a notre premier café litteraire rencontre avec un auteur.
Nous aurons tous besoin de vous pour faire venir du monde et réussir notre soirée, nous en reparlerons

Divers

Il a été proposé aussi qu’individuellement, nous soyons prétendant pour être jury du livre inter, mais aussi de s’acheter les livres en concours et nous même voter pour ces livres.
http://sites.radiofrance.fr/franceinter/ev/fiche.php?ev_id=1147


Autre idée un pique nique au Somali pour visiter la fabuleuse librairie du « trouve tout du livre »
http://www.le-trouve-tout-du-livre.fr/c/portal/layout?p_l_id=PUB.1022.1


Et puis bouquet final en triomphe Joséphine nous a lu un texte à elle sur « le temps »
Un grand moment de notre club, a lire absolument pour les membres du café litteraire
Vous aussi si vous avez un texte amenez le et faites nous partager vos ecris.

Chalabre le 17 juillet de 15 à 18h dédicaces de quelques auteurs (je suis modestement invité) mais aussi lancement d’un recueil de nouvelles sur le thème de l’eau. Les recettes de ce livre seront reversées à une fondation (une de mes nouvelles est retenue, je vous y attend) plus d’infos sur le lien
http://www.riviereblanche.com/histoiresdeau.htm

Générosité : Nous cotiserons 1€ par personne et par séance de café litteraire. cette somme sera ensuite utilisée pour acheter des livres pour les hopitaux, et cliniques qui s'occupent d'enfants malades.

Merci notre ami du journal l'indépendant Roger Lemoine pour son aide à notre café litteraire.


Et maintenant place aux livres « Coup de cœur »

"L'oracle della Luna" de Frederic LENOIR


Patrick M. nous prend la balle au rebond et nous livre avec fougue et passion
Qui est Luna, la belle sorcière aux cheveux de feu ? Quelle malédiction frappe le blessé retrouvé dans sa cabane des Abruzzes. Qui sont les hommes masqués de noir acharnés à sa perte ? Quelles paroles terribles dissimule ce mystérieux parchemin qui ne doit surtout pas arriver jusqu'aux mains du pape? Au cour d'un XVIe siècle hanté par les querelles religieuses et philosophiques, le nouveau thriller historique de Frédéric Lenoir nous entraîne des palais aux prisons de Venise, du Mont Athos au bagne des corsaires d'Alger, de Jérusalem au ghetto de Chypre. Un roman d'amour et d'aventures où passion, mort, mystique chrétienne et soufie, astrologie et kabbale rythment la quête initiatique de Giovanni, le jeune paysan qui avait osé lever les yeux sur la fille des Doges.

"Pardonnez nos offences" de Romain SARDOU


Un livre qui se dévore!
L'action se déroule au 13e siècle, avec un sujet d'après moi aussi brûlant que le Da Vinci Code : les manipulations de l'Église...
Une petite paroisse un peu isolée dans le sud de la France (si quelqu'un peut me le situer exactement... Draguan???), un village oublié... La dernière technologie (pour l'époque) entre en jeu! On fait face à la supertition des habitants, on voyage de Draguan à Paris, à Rome, on chemine sur les routes infestées de brigands et de loups

"La civilisation ma mére" de Driss CHRAIBI


Patrick nous fait decouvir un écrivain Marocain

« La Civilisation ma mère !... (1972) nous ramène au Maroc et raconte l'histoire d'une femme à la conquête de sa liberté. De la tonte du mouton aux réunions politiques en passant par l'apprentissage scolaire, c'est l'éveil d'une femme à la conscience qui est mis en relief et raconté par un narrateur, vigilant observateur de cette mutation qu'il appelle de tous ses vœux. Cette transformation préfigure des lendemains nouveaux dans un Maroc indépendant et qui se cherche encore. Ce livre consacré à la femme est aussi un hommage au père, puisqu'il témoigne de la transformation radicale de celui-ci à la fin du roman et démontre que le changement politique est impossible sans une mutation dans les mentalités. »

"Intrigue à Versailles" de Adrien Goetz

andrée nous subjuge avec
Re voici Pénélope, l'héroïne d''Intrigue à l'anglaise'. La jeune conservatrice du patrimoine, après avoir résolu la mystérieuse énigme de la tapisserie de Bayeux, se retrouve nommée au château de Versailles. Dès son premier jour, elle découvre un cadavre, un meuble en trop et un Chinois...

"Les yeux jaunes des crocodiles" de Katherine PANCOL


Michele, nous enthousiasme avec le recit de ce livre.
Deux soeurs. La quarantaine. Iris, belle, très belle, riche, élégante, parisienne.
Autrefois étudiante brillante, elle s'est mariée, et sa vie se résume en un tourbillon vain. Iris s'ennuie, rêve de devenir une autre. Joséphine est une littéraire, historienne spécialisée dans l'étude du XIIe siècle. Beaucoup moins belle, beaucoup moins à l'aise dans la vie. Mariée, elle a deux filles, vit en banlieue et se bat pour tenir debout. Un jour, à un dîner, Iris prétend qu'elle écrit. Entraînée par son mensonge, elle persuade sa soeur d'écrire un livre qu'elle signera, elle. Abandonnée par son mari, acculée par les dettes, Joséphine se soumet. Elle est habituée : depuis qu'elles sont enfants, Iris la magnifique la domine. Le destin de chaque soeur va basculer.

"Rendons à Cesar" de Daniel APPRIOU


Françoise aime savoir d'ou viennent les expressions utilisées. Savez vous d'ou vient la replique "Epater la galerie", lisez et vous saurez!

'Avoir une épée de Damoclès au-dessus de la tête', nous connaissons tous cette expression et nous l'utilisons parfois pour exprimer la crainte d'un danger imminent. Mais qui était Damoclès, et pourquoi avait-il une épée suspendue au-dessus de la tête ? Pourquoi 'aller à Canossa' était aussi pénible ? Comment Crésus a-t-il fait pour amasser autant d'argent ? Qu'est-ce qu'un pilori ? Pourquoi les Hébreux, las d'attendre Moïse, ont-ils fait fondre leurs bijoux d'or pour en faire une statue en forme de veau ? Pourquoi les hussards étaient-ils aussi audacieux ? Qu'est-ce qu'une marotte ? Et si Stentor n'était pas seulement une marque de café, mais un héros homérique à la voix surpuissante ? Quel est le sens de cette obscure citation latine : 'Ad usum delphini' ?

"Trouver le chemin" de Veronique JEANNOT


Claudie a lu et relu le livre et d'autres aussi, on decouvre une vraie romanciere


Elle respire la gaieté, la santé, la joie de vivre et pourtant... Pour la première fois, l'enfant chérie de la télévision accepte de se livrer en confiant un secret douloureux : la grave maladie qui l'a privée, à vingt-deux ans, du bonheur d'être mère un jour. Pour la première fois aussi, elle évoque l'accident tragique de Didier Pironi, le pilote de Formule 1, qui fut l'amour de sa vie. Ce récit émouvant, jalonné d'anecdotes, nous fait partager le chemin qui fut le sien, avec la rencontre du bouddhisme qui l'a aidée à guérir, à porter sur l'existence un regard différent, et à s'engager pour la défense du Tibet. De cette philosophie, Véronique Jannot propose ici une explication lumineuse, un mode de vie au quotidien, à la portée de tous. Elle donne également la parole à des femmes d'exception, rencontrées là où survit le peuple tibétain en exil, ainsi qu'à Sogyal Rinpoché, son guide spirituel. Autant de témoignages qui nous mènent vers les hautes altitudes où se trouvent peut-être les vraies clés du bonheur.

L'Usage du Monde" de Nicolas BOUVIER


A entendre Marie Claire elle a franchement aimé


Récit du voyage effectué par les deux amis de la Yougoslavie à l'Afghanistan, entre juin 1953 et décembre 1954. La route, effectuée en Fiat Topolino, les mène de Belgrade jusqu'à la Turquie, l'Iran (où ils passent l'hiver 1953-1954, à Tabriz), le Pakistan (dont une longue halte à Quetta), et l'Afghanistan (ils se séparent à Kaboul, le récit de Nicolas Bouvier continuant jusqu'à la passe de Khyber). Pour gagner le peu d'argent nécessaire au fil du voyage, Thierry Vernet vend des peintures et Nicolas Bouvier écrit des articles pour des journaux suisses ou autres, fait des conférences, donne des cours de français.

Cet « ouvrage-culte » de Nicolas Bouvier, tel qu'il a été défini par le magazine Lire[1] est à la fois un récit de voyage et une invitation à l'émerveillement au gré des flâneries de l'auteur. Dans ce livre se retrouvent déjà les principaux thèmes qui reviendront dans les œuvres suivantes (Chronique japonaise, Le poisson-scorpion ou encore le Journal d'Aran et d'autres lieux) : le voyage comme invitation au décentrement, à se rendre disponible et ouvert au monde extérieur, à en grapiller « les miettes », selon l'expression de Bouvier et à se laisser remodeler par lui.

"Le retour du Cathare" de François BLUCHE

Phillipe avec sa verve naturelle n'a pas aimé, internet non plus, je n'ai pas trouvé de references, ni sur le livre, ni sur l'ecrivain.
Qu'il est dur de se faire connaitre sur cette planete

vendredi 18 juin 2010

"La sieste assassinnée" de Philippe DELERM


Claude avec passion nous presente le livre

"Une série de textes très courts croquant des situations de la vie de tous les jours prises sur le vif (dans le métro, chez le dentiste, la sieste en été, chez le coiffeur...) dans lesquels l'auteur témoigne de son émerveillement devant ces petits riens qu'on aime par-dessus tout. Un livre hédoniste et poétique, comme une parenthèse salutaire dans un monde obsédé par la vitesse et la fuite."
la lecture par claude de quelques textes donne sacrément envie de le lire

samedi 24 avril 2010

Patrick a presenté deux livres d'un ecrivain qu'il decouvre

Georges-Patrick-GLEIZE (ariegeois comme patrick)

"L'Auberge des Myrtilles" A Peyrac dans l’Ariège, Juliette Menard est la seule à avoir percé le secret de la capture en 1943 d’un groupe de jeunes résistants qui s’apprêtaient à prendre le maquis. Se sentant menacée, elle confie au maire du village quatre lettres, à charge pour lui, s’il lui arrivait malheur, de les remettre aux enfants des maquisards pour qu’ils vengent la mémoire de leurs pères. Le décès brutal de la vieille dame relance l’affaire : Dans l’ancien café Costes, devenu l’Auberge des Myrtilles, les fils des résistants se retrouvent, bien décidés à faire la lumière sur la disparition de leurs pères, réveillant les fantômes d’un passé trouble…




Jean-René Wolfgang, haut fonctionnaire de l'Éducation Nationale, enfant naturel né à Biskra en Algérie, a toujours cherché à percer le secret de ses origines. Sur les traces de sa mère, la découverte à Guéret, en Creuse, d'une importante correspondance familiale, lui ouvre les pages d'une histoire insoupçonnée.
Tout commence en 1918 dans les Pyrénées ariégeoises. Louis et Marguerite Rivière, instituteurs, ont deux filles brillantes, Émilienne, future normalienne et Marthe, qui rentre en première au lycée à Toulouse. Tout semble les opposer. Autant l'aînée est austère et rigoriste, autant sa sœur est séduisante et enjouée. Louis, en mal de patriotisme, décide d'accueillir un soldat en convalescence. Le bel officier américain d'origine française qui arrive à Mijanès, s'éprend de la jolie Marthe. Tandis qu’une vie aventureuse et romanesque attend cette dernière, la rigide Émilienne fait des choix contraires à l’aube des années troubles de la guerre.

Sur les chemins de leurs destins croisés, Jean-René n'est pas au bout de ses surprises…
Je decouvre cet auteur. j'aime son style et sa déscription de l'Ariege, et des Ariegeois. à lire

Patrick aime un Goncourt(2009) "Syngué Sabour" de Atiq Rahimi

Une femme veille son mari. Elle cale sa respiration sur celle de l'homme blessé. Ses lèvres tremblent. Elle prie, égrène son chapelet, scande quatre-vingt-dix-neuf fois l'un des noms de Dieu, « Al-Qahhâr, Al-Qahhâr, Al-Qahhâr », souffle, recommence. Elle se berce au son de sa propre litanie, veut croire, espérer. Elle craint ce corps inerte, lui murmure des choses insensées, jamais prononcées, fragments de tendresse, d'illusions enfuies. Jusqu'alors clandestine, une audace la tenaille. L'impatience monte en elle. Elle s'insurge et laisse des paroles âpres, folles, terrées depuis trop longtemps s'échapper de ses entrailles. Un flot – toute sa vie – franchit sa bouche soumise. Lui viennent alors des mots interdits, des mots rebelles. Elle apostrophe Dieu et son enfer, insulte les hommes et leurs guerres, maudit son époux, soldat d'Allah, héros vaincu par sa fierté de mâle, son obscurantisme religieux, sa haine de l'autre. Elle prie, elle crie. Elle était silence, abnégation. Elle ­devient femme
A lire absolument je vous le conseille

Myriam n'a pas aimé: "Trois femmes puissantes de Marie N'DIAYE (Le goncourt 2010)


Trois récits, entre lesquels courent des liens ténus. Au centre de chaque récit, une femme qui dit non. Elles s'appellent Norah, Fanta, Khady Demba.

Norah, la quarantaine, arrive chez son père en Afrique. Le tyran égocentrique de jadis est devenu mutique, boulimique, et passe ses nuits perché dans le flamboyant de la cour. Pourquoi lui a-t-il demandé de venir ? Ce que Norah va découvrir est plus terrible encore que ce qu'elle pouvait redouter.

Fanta enseignait le français à Dakar, mais elle a été obligée de suivre en France son compagnon Rudy. Rudy s'avère incapable d'offrir à Fanta la vie riche et joyeuse qu'elle mérite. Il reste sous l'emprise maladive de sa mère, qui consacre sa vie à persuader son entourage de l'existence des anges. Il erre, bouleversé, dans une réalité visqueuse qui le remplit de colère et de rancune. Fanta, près de lui, est un roc.

Khady Demba est une jeune veuve africaine. Sans argent, elle tente de rejoindre une lointaine cousine, Fanta, qui vit en France. Le long voyage de l'émigration sera ponctué de souffrances
Myriam n'aime pas c'est son humble avis pas une condamanation

Francis nous boulverse avec: Le cercle des amateurs d'epluchures de patates"


De Mary Ann Shaffer et Annie Barrows
Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, un natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis - un monde insoupçonné, délicieusement excentrique. Celui d'un club de lecture créé pendant la guerre pour échapper aux foudres d'une patrouille allemande un soir où, bravant le couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une tourte aux épluchures de patates.. .) délices bien évidemment strictement prohibés par l'occupant. Peu à peu, la jeune femme élargit sa correspondance avec plusieurs membres du Cercle et même d'autres habitants de Guernesey, découvrant l'histoire de l'île, les goûts (littéraires et autres) de chacun, l'impact de l'Occupation allemande sur leurs vies...
Pour Francis le meilleur, et de loin des livres qu'il a lu, et oui à ce point!

Anne nous régale avec:L'elégance du Herisson" de M.Barbery


'Je m'appelle Renée,j'ai 54 ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette,j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants.'
'Je m'appelle Paloma,j'ai douze ans,j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C'est pour ça quej'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai.'
De l'avis de tous et des 5 a 6 personnes qui l'avaient déja lu "une perle" à tous ceux qui l'ont lu , laissez nous votre commentaire.

Colette nous a envoutés avec: Oscar et la dame en rose "

De Eric Emmanuel Schmit
Oscar est un petit garçon qui vit à l’hôpital des enfants, car il a une leucémie. Il a dix ans, mais il pense qu’il a l’air d'en avoir sept et que sa tête ressemble à un Crâne d’Œuf à cause de son cancer. À l’hôpital il fait la connaissance de Mamie-Rose, la « dame rose », qui travaille là pour réconforter les enfants malades. Elle encourage Oscar à écrire des lettres à Dieu pour se sentir moins seul. Bien qu’il ne croie pas vraiment que Dieu existe, il le fait et demande un vœu à l’esprit par jour. Un jour, Mamie-Rose lui propose de "vivre chaque jour comme si tu vivais 10 ans." Dans le reste du livre, on parlera de son "âge", 10 ans de plus à chaque lettre. Finalement, il meurt à "110 ans" passés ...

1re lettre
Dans la première lettre, Oscar présente Mamie-Rose: Elle était, soi-disant, une catcheuse nommée « l’Étrangleuse du Languedoc ». Maintenant, elle est incroyablement âgée. Elle est même trop âgée pour travailler comme dame rose.
Au contraire de tout le reste du personnel de l’hôpital, Mamie-Rose n’essaie pas de nier le fait qu’Oscar n’a que peu de temps à vivre. Donc Oscar peut lui parler de sa mort.
et d'autres lettres suivront

livre qui nous a envoutés tous malgré la gavité du sujet, et vous qu'en avez vous pensé?