oufffffffffffffff
on y arrive
on vous attend le 9 novembre à 8h30 à villeneuve les montreal salle des fetes
a bientôt
A qui le Goncourt ????
Aimer lire, Aimer se rencontrer, Aimer partager sa passion de la lecture, cafelitteraire11@gmail.com
mercredi 31 octobre 2012
vendredi 13 juillet 2012
Une idée originale au dernier café litteraire
Sur une superbe idée d’Anne, nous avons décidé de lire tous le même auteur pour la séance de février
Ensuite nous échangerons sur ses romans
L’auteur sera : Nancy Houston
Je vous propose un lien pour mieux la connaître et choisir un de ses livres
http://www.actes-sud.fr/contributeurs/huston-nancy
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-des-matins-nancy-huston-2012-05-22
http://www.lexpress.fr/culture/livre/reflets-dans-un-oeil-d-homme-par-nancy-huston_1110387.html
http://www.lexpress.fr/culture/livre/nancy-huston-souvenirs-de-la-chambre-des-morts_617783.html
Biographie :
BIOGRAPHIE :
Non, pas de biographie, pas trop, parce qu'elle n'aimerait pas ça. Et que les dates égrenées d'une vie n'ont pas nécessairement plus d'importance, ni de vérité que les mensonges de la fiction. Ou simplement la vérité, elle est dans ce que dit Nancy, dans ses romans. Seulement deux ou trois choses que je sais d'elle... pour reprendre le titre d'un vieux Godard qui aurait aimé son visage d'indienne belle et rebelle. N'a-t-elle pas sur certaines photos un air d'Anna Karina ? Je sais qu'elle est née à Calgary, une ville sans cathédrale ni château. Une ville de l'Alberta, un pays de plaines, «terre remplie de vide et de langues étrangères » où les gens s'étourdissent de rodéos et n'en finissent jamais de commémorer un passé récent de pionniers. Un pays de religion aussi. Le grand-père, le père sont très religieux. « Mon grand-père paternel était pasteur, pour commencer; la sœur de mon père était missionnaire au Népal, et ces deux parangons de la vertu chrétienne pesaient lourdement sur mon père. Ma mère était protestante elle aussi, mécréante depuis longtemps, je crois; toujours est-il qu'elle avait été élevée dans une secte différente de celle de mon père. Donc quand ils se sont mariés, ils ont fait une sorte de « compromis » : la cérémonie s'est tenue à la très libérale et moderniste église unitarienne, et c'est là que, au fil des ans, leurs trois enfants ont été baptisés. » Une religiosité plus hybride, plus éclectique que rigoriste, sans doute. Mais qui peut susciter quelques envies d'athéisme. Pas trop tout de même
Lire la suite sur son site :
http://mondalire.pagesperso-orange.fr/Huston.htm
Rendez vous avec les romans de Nancy donc le 22 février au café littéraire
Ouvert à tous venez échanger avec nous.
Nous avons aussi décidé d’inviter des auteurs régionaux comme G.P Gleizes, M. Fuentes et autres pour leurs derniers romans………….
Les dates de nos prochain « Café littéraire »:
26 octobre 2012, les bons livres de la rentrée
2 décembre 2013 : les livres de noël à offrir (surement avec un auteur)
22 février 2013 : rendez vous avec les romans de N.Youston
26 avril 2013
28 juin 2013
Ensuite nous échangerons sur ses romans
L’auteur sera : Nancy Houston
http://www.actes-sud.fr/contributeurs/huston-nancy
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-des-matins-nancy-huston-2012-05-22
http://www.lexpress.fr/culture/livre/reflets-dans-un-oeil-d-homme-par-nancy-huston_1110387.html
http://www.lexpress.fr/culture/livre/nancy-huston-souvenirs-de-la-chambre-des-morts_617783.html
Biographie :
BIOGRAPHIE :
Non, pas de biographie, pas trop, parce qu'elle n'aimerait pas ça. Et que les dates égrenées d'une vie n'ont pas nécessairement plus d'importance, ni de vérité que les mensonges de la fiction. Ou simplement la vérité, elle est dans ce que dit Nancy, dans ses romans. Seulement deux ou trois choses que je sais d'elle... pour reprendre le titre d'un vieux Godard qui aurait aimé son visage d'indienne belle et rebelle. N'a-t-elle pas sur certaines photos un air d'Anna Karina ? Je sais qu'elle est née à Calgary, une ville sans cathédrale ni château. Une ville de l'Alberta, un pays de plaines, «terre remplie de vide et de langues étrangères » où les gens s'étourdissent de rodéos et n'en finissent jamais de commémorer un passé récent de pionniers. Un pays de religion aussi. Le grand-père, le père sont très religieux. « Mon grand-père paternel était pasteur, pour commencer; la sœur de mon père était missionnaire au Népal, et ces deux parangons de la vertu chrétienne pesaient lourdement sur mon père. Ma mère était protestante elle aussi, mécréante depuis longtemps, je crois; toujours est-il qu'elle avait été élevée dans une secte différente de celle de mon père. Donc quand ils se sont mariés, ils ont fait une sorte de « compromis » : la cérémonie s'est tenue à la très libérale et moderniste église unitarienne, et c'est là que, au fil des ans, leurs trois enfants ont été baptisés. » Une religiosité plus hybride, plus éclectique que rigoriste, sans doute. Mais qui peut susciter quelques envies d'athéisme. Pas trop tout de même
Lire la suite sur son site :
http://mondalire.pagesperso-orange.fr/Huston.htm
Rendez vous avec les romans de Nancy donc le 22 février au café littéraire
Ouvert à tous venez échanger avec nous.
Nous avons aussi décidé d’inviter des auteurs régionaux comme G.P Gleizes, M. Fuentes et autres pour leurs derniers romans………….
Les dates de nos prochain « Café littéraire »:
26 octobre 2012, les bons livres de la rentrée
2 décembre 2013 : les livres de noël à offrir (surement avec un auteur)
22 février 2013 : rendez vous avec les romans de N.Youston
26 avril 2013
28 juin 2013
mardi 10 juillet 2012
la neige tombait sur les cedres de D.Guterson
au nord-ouest des etats-unis, l'île de san piedro est le théâtre d'une tempête sans précédent : un jeune américain d'origine japonaise, accusé de meurtre, est traduit devant le tribunal de la petite communauté de pêcheurs et de fermiers. lors qu procès refont surface les souvenirs de la guerre du pacifique et des camps oú furent internés les nippo-américains, après pearl harbor. le journaliste ishmael chambers entame une longue plongée dans son passé : son premier et son unique amour pour hatsue - la femme de celui que l'on juge aujourd'hui -, la guerre oú il a perdu un bras et s'est perdu lui-même.
Les souvenirs de D.Foenkinos
Deux jours auparavant, il était encore vivant. J'étais allé le voir à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre, avec l'espoir gênant que ce serait la dernière fois. L'espoir que le long calvaire prendrait fin. Je l'ai aidé à boire avec une paille. La moitié de l'eau a coulé le long de son cou et mouillé davantage encore sa blouse, mais à ce moment-là il était bien au-delà de l'inconfort. Il m'a regardé d'un air désemparé, avec sa lucidité des jours valides. C'était sûrement ça le plus violent, de le sentir conscient de son état. Chaque souffle s'annonçait à lui comme une décision insoutenable. Je voulais lui dire que je l'aimais, mais je n'y suis pas parvenu. J'y pense encore à ces mots, et à la pudeur qui m'a retenu dans l'inachèvement sentimental. Une pudeur ridicule en de telles circonstances. Une pudeur impardonnable et irrémédiable. J'ai si souvent été en retard sur les mots que j'aurais voulu dire. Je ne pourrai jamais faire marche arrière vers cette tendresse. Sauf peut-être avec l'écrit, maintenant. Je peux lui dire, là. »
David Foenkinos nous offre ici une méditation sensible sur la vieillesse et les maisons de retraite, la difficulté de comprendre ses parents, l'amour conjugal, le désir de créer et la beauté du hasard, au fil d'une histoire simple racontée avec délicatesse, humour, et un art maîtrisé des formules singulières ou poétiques
Le journal d'un corps de D.Pennac
Voilà quelques années, le sociologue David Le Breton publiait un livre passionnant sur le mépris contemporain pour le corps, l'insistance à en dénoncer les faiblesses. Le corps fatigue, vieillit, tombe malade. Et finit par mourir. De la chirurgie esthétique à la biologie, en passant par les technosciences, chacun rêve aujourd'hui de « bricoler » le corps pour l'améliorer, s'inquiétait le sociologue dans cet essai intitulé L'Adieu au corps. Nié, le corps, confirme le personnage imaginé par Pennac. Qu'importe le spectacle qu'on en donne aujourd'hui, le silence qui l'entoure est aussi épais qu'avant. « Plus on l'analyse, ce corps moderne, plus on l'exhibe, moins il existe. Annulé, à proportion inverse de son exposition ». D'où le projet de cet homme, au centre du livre, d'écrire un « journal de son corps ». De septembre 1936 (il a 12 ans) à octobre 2010, quelques jours avant sa mort, à 87 ans. Le résultat est l'exact contre-pied d'un adieu au corps. C'est un salut à celui-ci, compagnon de tous les jours, la reconnaissance d'une vie. Le corps retrouvé.
Voici donc un journal impudique, sans tabou. Exclusivement centré sur les découvertes, les surprises sans fin que nous réserve notre corps. A peu près rien dans ce journal des événements qui traversent la vie de son héros - rien sur la guerre, rien sur mai 1968. Rien non plus des états d'âme du diariste. Juste « l'observation de mon propre corps parce qu'il m'est intimement étranger ». Et qui vaut au lecteur de belles pages sur les « trois façons de pisser chez les garçons » ou le plaisir du « curage de narine » associé « à celui de la lecture ». On rit souvent, de nos peurs en particulier. On est heureux de partager cette intimité si profondément universelle, même si l'histoire se termine mal. On suit pas à pas les effets du vieillissement, les renoncements obligés, la perte de l'appétit sexuel. « Certains changements de notre corps me font penser à ces rues qu'on arpente depuis des années. Un jour, un commerce ferme, l'enseigne a disparu, le local est vide... »
Belle manière, en lisant ce livre, de se sentir humain. Pennac prend à bras-le-corps l'énigme de l'incarnation : quel est le lien entre mon corps et moi ? Et montre que le mystère n'est jamais épuisé. « Nous sommes jusqu'au bout l'enfant de notre corps. Un enfant déconcerté », écrit son héros, à 86 ans. Et c'est ainsi qu'il est un homme.
Le roi n'a pas someil de C.Coulon
La sobriété du style de Cécile Coulon – où explosent soudain les métaphores – magnifie l’âpreté des jours, communique une sensation de paix, de beauté indomptable, d’indicible mélancolie.
« Ce que personne n’a jamais su, ce mystère dont on ne parlait pas le dimanche après le match, autour d’une bière fraîche, cette sensation que les vieilles tentaient de décortiquer le soir, enfouies sous les draps, ce poids, cette horreur planquée derrière chaque phrase, chaque geste, couverte par les capsules de soda, tachée par la moutarde des hot-dogs vendus avant les concerts ; cette peur insupportable, étouffée par les familles, les écoliers, les chauffeurs de bus et les prostituées, ce que personne n’a pu savoir, c’est ce que Thomas avait ressenti quand le flic aux cheveux gras était venu lui passer les bracelets, en serrant si fort son poignet que le sang avait giclé sur la manche de sa chemise. » De quoi Thomas est-il responsable ? Qui a tiré les ficelles de cet invraisemblable jeu de dupes ? Chronique d’un drame, histoire d’un destin inattendu, Le roi n’a pas sommeil fascine par la manière insidieuse dont l’étau se referme autour de son personnage. Cécile Coulon, qui mêle avec brio la transparence et la noirceur, révèle la part d’ombre d’une vie ordinaire. Après Méfiez-vous des enfants sages, elle mélange le réalisme le plus cru au suspense le plus déroutant. Un roman d’amour et de haine, de violence et de trahison, aux pages traversées par le vertige de la vie humaine, que l’on porte en soi longtemps. Avec une écriture rigoureuse, Cécile Coulon dit la solitude hébétée, la vie fragile, l’impuissance. Palpitant, inquiétant, Le roi n’a pas sommeil ne laisse pas ses lecteurs au repos.
1Q84 de H.Murakami
1Q84 livre 1 avril-juin
Mon traitre de S.Chalandon
L’Histoire d’une amitié trahie
Mon Traître de Sorj Chalandon - © Grasset
Au fil des ans, Antoine rend de plus en plus de visites à ses amis, s’éprenant d’une véritable passion pour l’Irlande du Nord. Son enthousiasme est tel, qu’il s’enflamme lui aussi pour le conflit en Irlande du Nord, à un tel point, qu’il participe quelques fois à la lutte.
Durant plus de 25 ans, il mènera ça et là quelques actions pour le compte de l’IRA, le tout, vraisemblablement appuyé par son ami Tyrone Mehaan… Jusqu’au jour où il apprend par la presse que son ami agissait en vérité depuis plus de 20 ans pour le compte du gouvernement britannique. Antoine vit alors cette trahison comme un véritable déchirement, et peine à comprendre les motivations de son ami…
L'Art français de la guerre de A.Jenny
Qu’est-ce qu’un héros ? Ni un vivant ni un mort, un être qui pénètre dans l’autre monde et qui en revient.» À la lumière de cette citation de Pascal Quignard, on mesure mieux la personnalité du capitaine Victorien Salagnon, personnage central et ambigu de ce gros roman, et le dialogue qu’il noue avec un jeune homme désoeuvré, reclus dans la banlieue lyonnaise, qui passe son temps à trafiquer ses arrêts de travail, à faire l’amour, à boire et à regarder des films de guerre. L’ex-parachutiste raconte avec un mélange d’horreur et de pudeur, à son cadet fasciné, les conflits où il a servi. En échange, il l’initie au maniement de l’encre.
L’Art français de la guerre : un titre bien rébarbatif, où Alexis Jenni, né en 1963, et dont c’est le premier ouvrage, parcourt vingt-neuf ans de colonisation française. L’Indochine, le Viêtnam, l’Algérie. On pourrait croire à une réflexion sur l’absurdité des conquêtes, si l’auteur ne portait son récit à des hauteurs spirituelles, avec un style parfait d’équilibre. Il va plus loin que Camus, lequel n’envisageait pas une Algérie non française.
Les guerres de colonisation ont fait couler autant d’encre que de sang. C’est à l’encre que s’attache l’ex-officier. Celle dont il tirait, sur le papier, entre deux coups de canon, la pureté que la confusion générale interdisait. Celle qui noircit les Mémoires du général de Gaulle, baptisé «le Romancier», champion du mentir-vrai, quand il travestit ce qui gêne et passe sous silence ce qui dérange. De Gaulle est le plus grand menteur de tous les temps, mais il l’était comme mentent les romanciers. Il construisit par son verbe, pièce à pièce, la légende dont nous avions besoin pour habiter le XXe siècle». De Gaulle menteur ? Avant mai 1968, il avait écrit que l’Algérie française était une utopie ; quand il a constaté à Alger l’immense ferveur des pieds-noirs et la possibilité d’une amitié franco-musulmane, il a cru un moment que la chose était possible. Il a très vite déchanté. Son « Je vous ai compris » était-il sincère, avant sa volte-face, ou bien voulait-il faire avaler progressivement la couleuvre ? Les avis ont toujours divergé. Mais Alexis Jenni tient à la thèse de l’anagogie. Dans la jungle des partis pris, avoir un ennemi simplifie et rassure. Dans les livres, on en triomphe toujours. Ni Bodard ni Kessel, Jenni condamne l’héroïsme. Les guerres de colonisation sont de sales guerres, suivies de parfaits exemples de décolonisation ratée.
Le maître et l’élève trouvent la source de la sauvagerie coloniale dans l’exacerbation des différences et de l’identité nationale, dans l’obsession de la race et de la « ressemblance héréditaire », d’où découle le sectarisme. L’amour, le désir sexuel, l’art leur paraissent de saines alternatives, capables de transfigurer la haine aveugle : « Comment supporterais-je cet encombrement qu’est l’autre, si le désir que j’ai de lui ne me fait pas tout lui pardonner ? » Et sans désir de l’autre, que reste-il, sinon l’envie de le voir disparaître ? L’identité selon Alexis Jenni est à trouver dans le langage et le sexe, sous un ciel de neige peint à l’encre noire.
Mais tout est guerre, selon lui ; « la taupe cannibale » de la furia francese rampe et gronde partout, même en temps de paix. Dans le couple ; lors des émeutes ; dans les files d’attente devant une pharmacie de nuit où l’on cherche à grappiller une place ; dans l’acte de consommer (le narrateur lit le mot « enfant » sur une barquette de viande, à côté d’abats étiquetés « animaux »). Violence partout tapie, partout à l’oeuvre. L’État lui-même « veut que l’autre se taise ; il faut le réduire à quia, trancher sa gorge parlante ».
La torture est au coeur du débat, jamais décrite, non plus que le compagnon du narrateur ne s’englue dans la poliorcétique des combats (l’art d’assiéger les villes). Il rappelle que «le français est la langue internationale de l’interrogatoire». L’impossible situation des pieds-noirs installe la perfide question de la race, « l’idée visible qui permet le contrôle. La ressemblance physique, confondue avec l’identité, permet le maintien de l’ordre ». Quand le narrateur demande au vétéran s’il a torturé, l’autre répond qu’il a fait pis : «Nous avons manqué à l’humanité.» Tout ce livre tient au creux d’une phrase : «On n’apprend pas impunément la liberté, l’égalité et la fraternité à des gens à qui on les refuse».
Inconnu dans le milieu de l’édition, Alexis Jenni ne le restera pas longtemps. Ce premier roman, chef-d’oeuvre de mesure, que rehaussent l’art et le désir salvateurs, est un coup de maître.
Par Vincent Landel
La memoire du fleuve de C.Dedet
L'Armee perdue
Ve siècle avant J.-C. Un vent furieux souffle sur un petit village de Syrie. Abira, maîtresse de Xénophon, général du prince perse Cyrus le Jeune, raconte son
destin, mêlé à l'un des plus grands actes d'héroïsme collectif du monde antique. Jeune femme illettrée et éperdue d'amour, elle verra son amant soulever une armée de 10000 mercenaires afin de renverser le frère du prince, Artaxerxès Il. Mais les Spartiates jetteront rapidement le trouble sur les événements et Abira découvrira qu'ils jouent un double jeu... Spectatrice de ces grandes batailles, d'importantes décisions stratégiques, et même d'errances insoutenables, Abira est plongée au coeur de l'action. Bravant la poussière des champs de bataille de l'Antiquité, l'armée des Dix Mille de Valerio Manfredi entraîne le lecteur dans un tourbillon de complots, de violence et de passions.
lundi 9 juillet 2012
Une nuit en juin de G.P.Gleize
La fille du Templier de J.M Thibaux
on a pas aimé:
Mai 1147. Chevaliers et templiers ont quitté la Provence pour la Judée et la deuxième croisade. Sur la Sainte-Baume, la jeune Aubeline, fille du templier Othon, rêve de combats et d'aventures mais en compagnie de Bérarde, sa vigoureuse servante, elle assiste, impuissante, à l'ultime bataille entre Catalans et Provençaux. A l'issue de cette dernière, les femmes de la cour, avec à leur tête la très respectée Bertrane de Signes, acceptent une trêve mais surtout d'être dépossédées de leurs terres, au nom de la paix. Seul Hugon, héritier des Baux, ne veut pas capituler et décide de se venger des « traîtresses » : Bertrane, sa propre mère et la fille du templier.
Une grande et authentique page de l'histoire provençale au Moyen Age, entre guerre de blasons, croisades, templiers et cours d'amour, portée par d'inoubliables héroïnes
mardi 6 mars 2012
Soirée du 24 Mars 2012
Une belle équipe de
lecteurs et surtout de lectrice
Un bien bel échange de lecture comme d’habitude
Merci a vous, et a notre journaliste préféré R. Lemoine, sympathique
article
Prochain rendez vous le 27 AVRIL a 10h30 salle des fêtes de Villeneuve
les Montreal
Charleston sud de Pat CONROY

Chronique familiale, Charleston Sud est aussi l’histoire d’une génération. Celle du narrateur, Leo King, et d’un groupe d’adolescents venus de tous horizons : rejetons de l’aristocratie locale, orphelins des Appalaches, fils de l’entraîneur noir de football, et jumeaux d’une étonnante beauté, Sheba et Trevor Poe, qui tentent d’échapper à une mère psychotique. Le récit alterne entre 1969, année glorieuse où Leo et ses amis partent à l’assaut des barrières religieuses, sexuelles, sociales et raciales de Charleston, et 1989, où Sheba, devenue une star d’Hollywood, les supplient de retrouver son frère gay, disparu à San Francisco.
Le grand roman d’un écrivain hors norme dont la passion pour la vie et l’écriture ne connaissent pas de limites.
“Une immense fresque sur l’amitié et le mariage... Ses milions de lecteurs ne seront pas déçus”. Washington Poste
Beach Mussic de Pat CONROY

Le prince des marais de Pat CONROY

Tout dans ce roman est fort. Le titre déjà, magique et mystérieux ; le style ensuite, qui manie le flash-back, les images et les non-dits à la perfection ; l’écriture aussi, puissante et réfléchie ; l’histoire bien sûr, captivante du début à la fin ; et les personnages surtout, incarnés par des personnalités fascinantes, attachantes et superbement décrites.
Nous nous retrouvons plongés dans un monde à la fois familier, celui d’une famille qui se déchire, et inconnu, de par les personnalités hors du commun des acteurs et les circonstances très particulières dans lesquelles se déroule l’histoire.
Une île perdue au fin fond de la Caroline du Sud et une famille de pêcheurs qui lutte pour survivre. Un père violent et une mère pétrie d’ambition, pour qui rien d’autre n’a d’importance, vont marquer à jamais leurs trois enfants. Le Sud, un peu décadent, plante un décor idéal pour cette histoire aussi trouble et humide que les marais qui l’enveloppent.
Le roman, toujours sous tension, vogue entre le présent, Manhattan, où Tom s’est installé pour quelques mois afin de prendre soin de sa sœur jumelle, Savannah, internée à la suite d’une tentative de suicide, et le passé, trouble et rempli de souvenirs douloureux. Entre les jumeaux, une ombre plane, celle de leur frère, Luke, mort quelques années auparavant, dans des circonstances sombres que l’on découvre au fil du livre.
Trois caractères différents, trois personnages hauts en couleur, trois destinées tragiques dont les causes trouvent leurs racines dans le passé, un passé que Tom a, comme toute la famille, enfoui au plus profond de lui pour ne pas l’affronter et pour continuer à vivre. Avec l’aide la psychiatre de Savannah, il va petit à petit revivre ce passé pour se délivrer enfin, et sa sœur avec lui, si elle peut encore être sauvée.
C’est un livre dur, perturbant, mais l’humour ne manque pas, la romance non plus, et surtout, il offre ce souffle de génie qui ne se décrit pas mais qui se ressent et s’apprécie comme toutes les choses rares, trop rares.
Freedom de Jonathan FRANZEN

Le cordonnier de la rue triste de Robert SABATIER
résumé du livre

Ticket d'entrée de Joseph MACE-SCARON

Hélas, il a des certitudes vacillantes et son journal passe entre les mains d’un industriel obtus, la promotion devient un piège inéluctable. C’est que Benjamin ne se reconnaît dans aucune communauté, ni la future cour qui se presse autour de Sarkozy (nous sommes avant l’élection présidentielle), ni le ghetto doré du Marais. Benjamin est différent, il apprendra donc, à ses dépens, qu’au-delà d’une certaine limite, son ticket d’entrée dans la "bonne société" n’est plus valable…Roman satirique, traversée de communautés étanches entre elles, portrait acide de la nouvelle comédie du pouvoir et d'une France qui déraille et qui grince.
C'est drôle, irrévérencieux, polémique : l'auteur n'épargne personne, à commencer par lui-même.
l'enfant allemand de Camillia LÄCKBERG
un tueur sur la route de J.ELLROY
Avec toute sa virtuosité et sa narration à la 1ère personne, James Ellroy signe un roman remarquable et nous met dans la peau d’un dangereux serial killer psychopathe dans l’Amérique des années 60-80. On suit les « travers » Martin Plunkett dès son plus jeune âge et on découvre peu à peu le mécanisme qui le pousse à agir de telle ou telle façon (ultra violente, la plupart du temps). On s’attache alors, bien malgré nous, au « héros » du roman qui se révèle finalement être une victime de ses troubles psychologiques autant qu’un coupable des pires atrocités.
Le style est percutant et d'un réalisme saisissant. Attention aux âmes sensibles, tout de même. C’est plus qu’un roman, finalement. Cela ressemble parfois à un documentaire, si on se réfère aux différents extraits de journaux qui agrémentent et servent le récit. Certains passages, dont la rencontre en prison avec Charles Manson, mériteraient de devenir des scènes cultes.
Outre le scénario très prenant, James Ellroy nous donne matière à réfléchir sur les personnes atteintes de schizophrénie.
Une merveille à lire absolument !
Le style est percutant et d'un réalisme saisissant. Attention aux âmes sensibles, tout de même. C’est plus qu’un roman, finalement. Cela ressemble parfois à un documentaire, si on se réfère aux différents extraits de journaux qui agrémentent et servent le récit. Certains passages, dont la rencontre en prison avec Charles Manson, mériteraient de devenir des scènes cultes.
Outre le scénario très prenant, James Ellroy nous donne matière à réfléchir sur les personnes atteintes de schizophrénie.
Une merveille à lire absolument !
le Dalhia noir de James ELLROY
« Une belle nana blanche se fait rétamer, le service tout entier, comme un seul homme, se met en chasse pour montrer aux électeurs que le nouvel emprunt leur a donné une police avec du coeur au ventre »
résumé du livre
'Le dahlia noir' est le premier tome de la série 'Le quatuor de Los Angeles' qui compte également le célèbre 'L.A. Confidential'. Dans ce volume, une très belle jeune femme est assassinée et retrouvée défigurée et mutilée dans un terrain vague de Los Angeles le 15 janvier 1947. Deux policiers (parmi lesquels Bucky Bleichert, le héros) vont faire équipe pour élucider ce meurtre. Anciens boxeurs professionnels, l'enquête qui piétine va bouleverser leurs vies.American tabloid de James ELLROY
Trois héros, Pete Bondurant, Kemper Boyd, Ward Littell : respectivement homme de main ultra violent de Howard Hughes, le célèbre magnat de l'aéronautique ; âme damnée d'un Hoover grand patron du FBI, infiltrée au Comité McClellan de JFK dans l'intention de faire échouer les ambitions électorales du clan Kennedy ; agent fédéral pourchassant le communiste et rêvant de poser ses crocs sur une chair plus noble... la mafia.
Les acteurs sont là. L'écheveau se tisse alors, lentement mais sûrement : Castro prend le pouvoir à Cuba, coupant la mafia de cascades de cash en nationalisant les casinos détenus par la Cosa Nostra. Déjà sur les dents, les parrains du crime voient rouges quand le Comité McClellan de Jack et Bobby Kennedy, est créé dans l'idée de mettre à jour les malversations de la Caisse de retraite du puissant syndicat des camionneurs, autre pain béni pour nos amis mafieux.
Hoover, patron du FBI et complètement fumé du bulbe, voit d'un mauvais oeil l'ambition des Kennedy (mettre à mal l'Empire du crime) qui dissimule à peine le dessein du patriarche, Joe Kennedy : installer son satyre de fils à la Maison Blanche.
La CIA quant à elle aimerait bien faire la peau à Castro. Pourquoi ? Et bien, parce que Castro est un Rouge, enfin peut-être, et puis de nombreux amis de la CIA (des types ayant leurs habitudes du côté de Chicago, Hoover) ont tout intérêt à voir Castro partir. Donc, c'est dit, Castro sera bouté de La Havane. Une invasion en règle s'impose... attention la Baie des Cochons n'est pas loin.
Et voilà que nos trois héros sont plongés dans cet imbroglio : manipulations, contre-manipulations, assassinats, course électorale, calculs politiques, trafics de drogue etc etc... Au final, le mythe d'un JFK beau, jeune, juste est soigneusement brisé. Comme sont brisés la plupart des personnages réels et fictifs de ce roman. Peu importe, la plupart était des crapules.

Hoover, patron du FBI et complètement fumé du bulbe, voit d'un mauvais oeil l'ambition des Kennedy (mettre à mal l'Empire du crime) qui dissimule à peine le dessein du patriarche, Joe Kennedy : installer son satyre de fils à la Maison Blanche.
La CIA quant à elle aimerait bien faire la peau à Castro. Pourquoi ? Et bien, parce que Castro est un Rouge, enfin peut-être, et puis de nombreux amis de la CIA (des types ayant leurs habitudes du côté de Chicago, Hoover) ont tout intérêt à voir Castro partir. Donc, c'est dit, Castro sera bouté de La Havane. Une invasion en règle s'impose... attention la Baie des Cochons n'est pas loin.
Et voilà que nos trois héros sont plongés dans cet imbroglio : manipulations, contre-manipulations, assassinats, course électorale, calculs politiques, trafics de drogue etc etc... Au final, le mythe d'un JFK beau, jeune, juste est soigneusement brisé. Comme sont brisés la plupart des personnages réels et fictifs de ce roman. Peu importe, la plupart était des crapules.
les souvenirs de David FENKINOS

Le narrateur va partir à sa recherche, et la retrouver pour lui offrir ses derniers moments de bonheur. Le hasard lui fait en même temps rencontrer Louise, qu’il va aimer, et qui le quittera. Les souvenirs, nourris de joies, de douleurs et de mélancolie, lui offrent désormais la possibilité d’écrire son roman – et peut-être son avenir.
David Foenkinos nous offre ici une méditation sensible sur le rapport au temps et sur la mémoire. Les rapports entre générations, les sentiments enfouis, les déceptions de l’amour, le désir de créer, la tristesse du vieillissement et de la solitude, tout cela est exprimé avec une grande délicatesse, un humour léger et un art maîtrisé des formules singulières et poétiques.
no et moi de Delphine le VIGAN
résumé du livre
Lou, treize ans, intellectuellement précoce, est une élève brillante et isolée. Fille unique délaissée par une mère tombée en dépression après la mort d'un bébé et incomprise d'un père aimant mais prisonnier de son impuissance. En classe, les autres élèves l'appellent 'le cerveau'. Pour Lucas et 'son air de bagarre' - les mauvais garçons au sourire d'enfant, ça a toujours fasciné les fortes en thème -, elle est 'pépite'. Dans le cours de l'exigeant monsieur Marin, elle a proposé de faire un exposé sur les sans-abri et d'interviewer une jeune femme SDF. A la gare d'Austerlitz où elle vient régulièrement regarder les gens et les trains partir, elle rencontre No. Mais la connaître, tenter de devenir son amie, ne suffit pas ; l'adolescente se met en tête de la sortir de là, comme on dit, et, avec Lucas, ils lèvent une armée du salut à deux combattants pour une opération de sauvetage, trop grande pour eux.Rien ne s'oppose a la nuit de Delphine le VIGAN
« Ma mère était morte depuis plusieurs jours… Alors j’ai demandé à ses frères et sœurs de me parler d’elle, de me raconter. Je les ai enregistrés, eux et d’autres, qui avaient connu Lucile et la famille joyeuse et dévastée qui est la nôtre…
Et puis, comme des dizaines d’auteurs avant moi, j’ai essayé d’écrire ma mère. »

Et Delphine de Vigan se met à la tâche, interroge, rassemble, compulse, trie documents écrits, photos : elle veut comprendre comment cette femme si belle, intelligente mais maniaco-dépressive a pu mourir seule sans avoir eu besoin d’elle ni de sa sœur. Cette quête longue et difficile va replonger Delphine de Vigan au cœur de sa propre famille maternelle : des souvenirs remontent à sa mémoire, et la replongent dans cette famille nombreuse, bourgeoise pas plus malheureuse que d’autres à cette époque mais solidaire face aux tragédies qui l’ébranlent.
Comme un puzzle, le cours de la vie de chacun se met en place et au fur et à mesure l’auteure sent qu’elle va débusquer des secrets qui enfin pourraient lui apporter les clés pour comprendre cette incapacité qu’avait sa mère d’aimer et d’être aimée. Mais fouiller ainsi dans des vies qui ne lui appartiennent pas éveille des scrupules chez la jeune femme qui cependant ne faiblira pas.
Comme un puzzle, le cours de la vie de chacun se met en place et au fur et à mesure l’auteure sent qu’elle va débusquer des secrets qui enfin pourraient lui apporter les clés pour comprendre cette incapacité qu’avait sa mère d’aimer et d’être aimée. Mais fouiller ainsi dans des vies qui ne lui appartiennent pas éveille des scrupules chez la jeune femme qui cependant ne faiblira pas.
L'homme inquiet de H.MANKELL

Pourquoi à 6 ans, j'ai tué la mesange de S.CECCATO
Ce livre est une lueur d'espoir pour beaucoup d'entre nous. L'auteur Solange Ceccato est handicapée physique et a raconté son histoire avec ses peines, ses douleurs mais aussi ses espoirs et ses joies dans "pourquoi à 6 ans j'ai tué la mésange ou comment accepte-t-on d'être une handicapée physique" aux éditions mille plumes. J'ai vu l'handicap autrement, j'ai vu que nous n'avions pas besoin d'être rancunier à la vie ou aux autres, que l'on peut passer outre et ce grace à elle
L'insolente de Kaboul de Chekeba HACHEMI
Chekeba Hachemi est née en 1974 à Kaboul dans une famille bourgeoise et influente. Elle a onze frères et soeurs. Son père était gouverneur, un homme proche » Lire la suite du peuple qui est mort quand elle avait deux ans mais qui a toujours incarné son modèle. A l'âge de onze ans, alors que sa mère décide que leur tour est venu de fuir l'occupation soviétique, Chekeba se trouve séparée d'elle et va traverser la passe de Khaibar avec un passeur menaçant. Onze jours de terreur, dans les montagnes, qui lui ouvriront les yeux sur la réalité de la violence de l'occupation russe. En 1999, Chekeba décide qu'il est temps de rencontrer ce Massoud pour lequel l'association qu'elle a créée, trois ans plus tôt, récolte des fonds en vue d'ouvrir des écoles dans le Panshir. Elle redécouvre son pays plongé dans la guerre et devient proche du célèbre commandant, qui voit en elle une aide précieuse pour sensibiliser la communauté internationale à la lutte contre les talibans. En septembre 2001, Massoud est assassiné, les tours tombent, les talibans sont défaits ; Chekeba entre dans Kaboul libéré et devient la première femme diplomate afghane en poste à Bruxelles. En 2005, elle est nommée conseillère auprès du vice-président à Kaboul. Puis, en 2007, ministre-conseiller à Paris. En 2009, après avoir dénoncé la corruption et lassée de constater qu'aucun changement ne répond à son appel, elle décide de donner sa démission.
La dame au Miroir de E.E SCHMITT

Là où les tigres sont chez eux de J.Marie Blas de ROBLES
Eléazard von Wogau, héros inquiet de cette incroyable forêt d'histoires, est
correspondant de presse au fin fond du Nordeste brésilien. On lui laisse un jour
un fascinant manuscrit, biographie inédite d'un célèbre jésuite de l'époque
baroque. Commence alors une enquête à travers les savoirs et les fables qui
n'est pas sans incidences sur sa vie privée. Comme si l'extraordinaire plongée
dans l'univers d'Athanase Kircher se répercutait à travers les aventures
croisées d'autres personnages, tels Elaine, archéologue en mission improbable
dans la jungle de Mato grosso, Moéma, étudiante à la dérive, ou bien Nelson,
jeune gamin infirme des favelas de Pirambu qui hume le plomb fondu de la
vengeance.
L'Ile des chasseurs d'Oiseaux de Peter MAY
Chargé de l'enquête sur un assassinat commis à Edimburg, Fin MacLeod est envoyé sur son île natale de Lewis, en Ecosse, quand un second cadavre apparemment exécuté selon le même modus operandi y est découvert. Persuadé que les deux affaires ne sont pas liées, Fin doit composer avec un décor et des gens qu'il a quittés dix-huit ans auparavant... Sur fond de traditions ancestrales d'une cruauté absolue, Peter May compose un roman palpitant parsemé de fausses pistes, de scènes glaçantes et de personnages aussi frustes que menaçants.
L'Heritage de Katerine WEBB

vendredi 10 février 2012
C'est chouette de se retrouver apres si longtemps......
Bonjour amis de la
lecture
Rendez vous au prochain café
littéraire le 24 février à 20h30 avec votre
livre………………………………….
Juré du livre inter c'est possible
Amelie Nothomb en sera la presidente
à vos claviers chers lecteurs.
Le Prix du Livre Inter 2012
le 4 juin 2012
Amélie Nothomb, présidente
Clap de départ por la 38è édition. Auditeurs, lecteurs, jurés, auteurs… vont vivre jusqu’en juin l’aventure du Livre Inter.A vos plumes
Si vous souhaitez faire partie du jury, envoyez avant le vendredi 18 février inclus, votre lettre de candidature à l'adresse suivante :Livre Inter - France Inter
116 av du Pdt Kennedy, 75220 Paris Cedex 16
La présidente
Depuis Hygiène de l'assassin publié en 1992, jusqu'à Tuer le père paru en 2011, Amélie Nothomb est l'auteur de 20 romans parus aux éditions Albin Michel. Ses livres sont traduits en 40 langues et ont obtenus de nombreux prix. Certains d'entre eux ont été portés au cinéma, notamment Stupeur et tremblements.Les rendez-vous :
Lundi 20 février : date limite d'envoi des lettres de candidatureLundi 2 avril : annonce à l’antenne du nom des 24 membres du jury sélectionnés et de la liste des dix livres en compétition
Dimanche 3 juin : délibération et vote du jury
Lundi 4 juin : proclamation du lauréat du 38ème Livre Inter dans le journal de 8h. Puis, émission spéciale "Livre Inter" en présence du Président du jury, des jurés et du lauréat
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